Treo, d’Handspring
Un ordinateur de poche communicant
Plus petit que les Visor, dont il est pourtant l’héritier, Treo associe les fonctions d’un assistant numérique et d’un téléphone mobile. L’appareil, qui fonctionne sous Palm OS, est décliné en deux modèles : l’un doté de l’écran tactile qui équipe les Visor ; l’autre enrichi d’un clavier, “qui correspond à une demande de près de 80 % de nos utilisateurs “, a précisé Jeff Hawkins, le cofondateur d’Handspring. Disponible aux États-Unis début 2002, cet ordinateur de poche coûtera 399 dollars (plus de 450 euros) hors éventuelles réductions liées à un abonnement téléphonique. Des remises plus que probables, puisque l’opérateur télécoms américain Sprint commercialise déjà aux États-Unis le téléphone mobile-assistant numérique de Kyocera, lui aussi basé sur le système Palm OS.
R-i700, de Ricoh
L’appareil photo numérique branché
Le R-i700 a failli être lancé l’année dernière, d’après un document trouvé sur le site japonais de son constructeur. Prenant pour base le dernier modèle de sa gamme d’appareils photos numériques 3,3 mégapixels, le R7, Ricoh a doté son nouveau boîtier d’un microserveur internet, d’un logiciel de courrier électronique et d’un navigateur web. Au travers d’un écran LCD de 3,5 pouces, l’utilisateur peut ainsi expédier sur son site internet ou sur un micro-ordinateur les photos qu’il vient de réaliser. Pour la connexion au réseau, le R-i700, qui est tout de même commercialisé au prix de 1 299 dollars (1 477 euros), accueille les cartes modem PC-Card ou Compact Flash standards du marché.
Le clavier virtuel, par Samsung
Ses touches vous vont comme un gant
Deux prototypes pour un concept : avec son clavier virtuel, Samsung a fait sensation, à défaut de convaincre. S’enfilant comme un gant, une panoplie de détecteurs analyse les mouvements des doigts et des mains, combinant dans un même objet les fonctions de la souris et du clavier traditionnels. Une technologie qui n’en est encore qu’à ses balbutiements. Car l’usage de ce “clavier” requiert un apprentissage assez long, chaque“touche” correspondant en effet à trois ou quatre lettres.
Le “video-chat”, d’Eyeball
Le bavardage internet en images
En lançant la version 2.0 de son logiciel, Eyeball décloisonne l’univers des messageries instantanées. Ce programme permet d’établir une communication vidéo en temps réel entre deux internautes équipés de webcams, qu’ils utilisent les “Instant Messengers” de Microsoft, d’AOL ou de Yahoo. Seul exclu à ce jour, ICQ devrait être intégré à une prochaine version, promet Eyeball. Parmi les fonctions intéressantes de ce logiciel en téléchargement gratuit ( www.eyeball.com), la possibilité de chiffrer les messages pour en garantir la confidentialité sur le réseau ou, encore, d’enregistrer et d’envoyer en différé des communications vidéo.
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