Un désabonnement ignoré
Quelques clics suffisent pour s’abonner grâce à un kit de connexion ou sur Internet, mais la démarche inverse est plus compliquée. En général, pour résilier un contrat, le fournisseur d’accès exige l’envoi d’une lettre recommandée avec accusé de réception.Mais le traitement de ces courriers traîne parfois en longueur. Par exemple, le fournisseur répond tardivement qu’il lui manquait une information (numéro de client, adresse, etc.). L’abonnement court toujours, et l’internaute continue à être débité, parfois pendant plusieurs mois.
Des erreurs de tarif
Des offres d’essai d’AOL proposent 30 ou 50 heures de communications gratuites pendant un mois. Or une fois ce mois passé, l’abonné est automatiquement inscrit sur un forfait différent de celui qu’il imaginait, avec beaucoup moins d’heures que prévu ! Et cela entraîne des dépenses téléphoniques de plusieurs dizaines d’euros.Autre cas de figure : les appels de connexion à Internet partent vers un numéro de téléphone facturé au tarif d’une communication locale, et non gratuit comme le prévoit le forfait.
Des erreurs de facturation
Les fournisseurs d’accès reconnaissent parfois des erreurs de facturation dans leurs services. Ainsi, des internautes ont été débités de sommes injustifiées, pouvant atteindre plusieurs dizaines d’euros.Cette découverte s’effectue souvent grâce aux relevés bancaires. D’après la loi, rien n’oblige les founisseurs d’accès à délivrer une facture mensuelle à leurs clients.
Un service insatisfaisant
Dans le domaine du haut débit, des abonnés se plaignent de difficultés de connexion. Or, même si le service fonctionne mal, il est facturé. D’autres plaintes évoquent des retards dans la livraison du modem, alors que l’abonnement est déjà payé.Face aux difficultés du paramétrage, tous critiquent le coût prohibitif des communications passées à la hot line.
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