Le circuit de décompression
La qualité de décodage de l’image, les différents formats audio, vidéo et photo pris en charge dépendent de la puce de décompresssion. Rarement mis en avant sur les documentations et les sites Web des constructeurs, ce composant
est pourtant essentiel. Avant d’acheter une platine, une recherche sur Internet est recommandée pour connaître le composant utilisé : on peut ainsi préjuger des qualités et des défauts du lecteur et éviter les mauvaises surprises.
Les connexions audio et vidéo
Pour brancher un lecteur de DVD à un téléviseur standard, une Péritel suffit, l’idéal étant d’être en mode RVB. A défaut, l’utilisation d’une prise S-Vidéo procurera une bien meilleure qualité qu’une liaison composite. Avec un
vidéoprojecteur, il est recommandé de disposer, à l’arrière de la platine, de prises en composantes YUV (teinte, saturation, luminosité), surtout si le lecteur propose le mode Progressive Scan pour un affichage non entrelacé. Certaines platines
disposent aussi d’une prise VGA : on pourra y brancher un écran plat ou un vidéoprojecteur.
Les formats audio et vidéo lus
On attend d’un lecteur compatible DivX qu’il sache au moins lire les vidéos compressées avec toutes les versions de ce codec (3.11, 4, 5), ainsi que son dérivé, le XviD. La prise en charge des vidéos créées avec le codec DivX 5
Pro (fonctions GMC et Qpel), la lecture des BivX (DivX bilingues) et fichiers MPeg1 (VCD) et MPeg2 (SVCD) est également appréciable. Pour l’audio, la lecture des MP3, désormais disponible sur toutes les platines, ne pose plus aucun problème. Le WMA,
le format audio de Microsoft, acquiert peu à peu le même statut. MP3 et WMA sont le minimum ; la gestion du format Ogg Vorbis, plus rare, est un plus.
Les disques reconnus
Rien de plus énervant que d’insérer un disque fraîchement gravé (un CD ou un DVD, réinscriptible ou non) et qui ne peut être lu par la platine ! Les fabricants ont multiplié les efforts pour assurer la compatibilité de leurs
lecteurs avec tous types de médias. La preuve : pressés ou gravés, les disques soumis aux 12 platines de ce comparatif ont été lus sans souci.
L’ergonomie
Comme tout appareil de salon familial, une platine DivX doit être agréable d’emploi, l’afficheur, lisible quand on se trouve en face du lecteur, et l’interface permettant de naviguer et de lancer les musiques, films et photos,
claire. A surveiller aussi, les fonctions d’avance rapide, la durée de lancement d’un disque, la possibilité de mettre à jour le logiciel interne, sans oublier la qualité du mode d’emploi, souvent perfectible !
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