Mediadisk Diamond, un disque dur multimédia Full HD non connecté
Comparatif : ce que valent les vidéoprojecteurs de poche
Acer C110 On n’aime pas… le fonctionnement uniquement par USBDépourvu d’entrée vidéo, le C110 s’alimente exclusivement via l’USB (technologie USB Display), depuis un ordinateur. Un peu…
Acer C110 On n’aime pas… le fonctionnement uniquement par USB Dépourvu d’entrée vidéo, le C110 s’alimente exclusivement via l’USB (technologie USB Display), depuis un ordinateur. Un peu minimaliste donc, mais ce système a pour lui d’être très simple à mettre en œuvre. Il suffit d’installer sur le PC le logiciel stocké dans la mémoire interne de l’appareil.
Optoma PK301 On aime… la connectique Son léger embonpoint (12 x 7,3 x 3 cm) permet au PK301 d’embarquer une connectique très complète. En plus des interfaces VGA et composite, accessibles via un adaptateur livré, ce picoprojecteur intègre un port mini-HDMI. Dommage, le câble idoine n’est pas fourni. Il faudra débourser une quinzaine d’euros de plus pour lui.
Optoma PK120 On aime… la toute petite taille Il faut le voir pour le croire, le PK120 renferme dans une coque, à peine plus encombrante qu’un gros smartphone, toute l’électronique nécessaire à une projection de qualité. Ce bijou tient dans une poche de chemise et se décline en version noire ou rouge, grâce aux deux coques fournies. Pas mal pour épater la galerie !
On n’aime pas… la faible autonomie de la batterie L’Optoma intègre une batterie dotée d’une faible autonomie, 1 heures et 11 minutes en continu. Ça suffit pour un épisode de série ou pour un diaporama de photos, mais pas pour un film. Frustrant !
On aime… les menus Tant pour ses vidéoprojecteurs de salon que pour les petits projecteurs de poche, Optoma met un point d’honneur à soigner la qualité des menus de réglage. Le PK120 ne fait pas exception avec une interface graphique colorée, très facile d’accès.
Acer C112 On aime… et on n’aime pas… la batterie en option La batterie du C112 est vendue séparément. Toutefois, afin de tester l’ensemble, nous avons ajouté son coût (59 euros) au prix total de l’appareil dans notre tableau. Si, grâce à elle, ce modèle obtient la meilleure autonomie (2 heures et 21 minutes), il est, en revanche, plus épais et plus lourd. La batterie pèse en effet à elle seule 398 g.
Vivitek Qumi On aime… la compatibilité 3D Plus gros que la moyenne, le Qumi appartient en réalité à la famille des mini-projecteurs. S’il intègre la même base technique que les autres (circuit DLP et rétroéclairage Led), il est beaucoup plus puissant et plus lumineux que la moyenne des picoprojecteurs. En prime, il peut afficher un signal vidéo en relief grâce à la techologie DLP Link. Mais il faut alors le coupler à une platine adaptatrice de type Optoma 3D XL.
On aime… les accessoires fournis Vivitek livre son Qumi avec une housse de protection, une télécommande, des câbles USB et HDMI… plus un adaptateur pour visionner les vidéos ou photos depuis son iPad ou iPhone.
On n’aime pas… la protection des prises Au lieu d’opter pour une trappe basculante, Vivitek pour une Vivi fournit avec le Qumi un cache « volant », permettant de protéger les connecteurs lorsque l’on déplace l’appareil. Mais ce cache, de qualité très moyenne, n’est maintenu à rien une fois enlevé du projecteur et peut se perdre assez facilement.
Philips PPX1020 On n’aime pas… sa qualité d’image Autre modèle un peu décalé de ce dossier, le PPX1020, qui fonctionne exclusivement par USB. Il ne peut donc être relié qu’à un ordinateur. Par ailleurs, il projette des images de qualité très moyenne. A 199 euros, on préférera jeter notre dévolu sur le modèle Optoma PK120, plus performant et encore plus petit.
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David Nogueira (photos d'Olivier Cadouin)