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5 novembre 2001 à 00:00
Les autres produits : Protocol Inspector, de Fluke Une ergonomie perfectible Cet équipement est la version OEM (Original Equipment Manufacturer) de Shomiti, et possède donc les…
Les autres produits : Protocol Inspector, de Fluke Une ergonomie perfectible
Cet équipement est la version OEM (Original Equipment Manufacturer) de Shomiti, et possède donc les mêmes caractéristiques. La sonde s’appelle DPI (Distributed Protocol Inspector) et est pilotée par le logiciel Protocol Inspector 3.2. Les fonctions de capture sont complètes en ce qui concerne le paramétrage du buffer, la capture multisegment (permettant l’analyse de deux réseaux différents) ou les triggers. En revanche, les fonctions d’arrêt et de déclenchement de capture sont assez complexes à paramétrer. La génération de trafic est en option. Comme tous les matériels testés, les fonctions de filtrage sont efficaces. Cependant la fenêtre de paramétrage de Fluke manque de souplesse. L’ergonomie du logiciel est en fait souvent discutable, aussi bien pour le paramétrage des statistiques que du mode Expert. Enfin la configuration minimale est exigeante puisqu’elle nécessite 512 Mo de mémoire vive et 700 Mo de mémoire virtuelle.
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Les autres produits : Sniffer Distributed, de Network Associates Simple à mettre en ?”uvre mais incomplet
La sonde de cet analyseur est un PC au format rack dans lequel est insérée une carte PCI offrant deux ports 1000Base-SX. Cette sonde est équipée d’un disque dur pour stocker les trames capturées et éviter de les faire transiter par le réseau. L’utilisation du logiciel est intuitive puisque toutes les fonctions sont accessibles à partir d’une seule fenêtre. De plus l’interface graphique de capture est assez conviviale et lorsque l’analyseur détecte des erreurs, il les expose de manière claire. En revanche, Sniffer ne dispose pas de fonction de génération de trafic limitant ainsi ses possibilités. Il ne décode pas non plus le protocole T.120 (utilisé par NetMeeting). D’autre part, en cas de rupture et de rétablissement du lien bidirectionnel, les interfaces n’arrivent pas à se synchroniser sur le flux de bits et enregistrent des erreurs de type CV (Code Violation). Nos tests ont révélé une certaine instabilité du couple sonde/logiciel car, après un redémarrage, l’agent à distance ne s’est pas lancé, il a fallu le faire manuellement.
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Les autres produits : THGs, de Shomiti Un manque de souplesse d’utilisation
La sonde THGs de Shomiti est pilotée par le logiciel Surveyor 3.2. Ce dernier permet de réaliser des analyses sur des cartes réseaux LAN Ethernet 10/100 et Gigabit grâce à la double interface de chacun de ses modules. THGs se présente sous la forme d’un PC au format rack doté de deux cartes PCI (THGm) offrant chacune un port 1000Base-SX et un port 10/100Base-T. L’équipement possède un buffer circulaire de 128 Mo. Il s’agit d’une version distribuée (c’est-à-dire destinée à rester installée au même endroit pour une longue période). Le produit de Shomiti se trouve en OEM chez Fluke. Selon Shomiti, la principale différence tient aux mises à jour qui arrivent avec quelques mois de retard chez Fluke. Les fonctions de capture sont complètes, mais l’arrêt et le déclenchement sont complexes à paramétrer. La génération de trafic est en option. Enfin, comme le modèle de Fluke, le THGs réclame une configuration musclée (512 Mo de RAM et 700 Mo de mémoire virtuelle) sous peine de plantage.
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