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25 juin 2001 à 00:00
Compaq ProLiant 360DL Linux Des capacités de traitement impressionnantes Le ProLiant DL360 s’illustre par sa puissance : lors de nos tests, il s’est révélé le plus…
Compaq ProLiant 360DL Linux Des capacités de traitement impressionnantes
Le ProLiant DL360 s’illustre par sa puissance : lors de nos tests, il s’est révélé le plus efficace pour le traitement des pages HTTP statiques. Pour ce qui est des pages dynamiques, seul son homologue fonctionnant en environnement Windows 2000 présente des performances légèrement supérieures. Il offre une maintenance simplifiée, grâce à la présence d’un levier facilitant l’extraction des disques durs et à des processeurs et une mémoire aisément accessibles. Seule l’installation des cartes d’extension s’est révélée quelque peu ardue. Mais ce serveur montre également des limites, particulièrement en termes de stockage. Il ne peut accepter au mieux que 36 Go de capacité. Si le contrôleur Raid présent sur la carte mère est activé en mode 1 (mirroring), la capacité maximale tombe alors à 18 Go. Mais le prix du ProLiant DL360, le double de celui de Dell, est son principal défaut.
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HP Netserver LP 1000r Linux En équipement limité
Compte tenu de son prix assez élevé, l’équipement du Netserver LP 1000r semble quelque peu insuffisant. En effet, il ne met à disposition qu’un seul connecteur PCI (64 bits à 33 MHz), au lieu de deux pour tous les autres serveurs présentés. De plus, HP ne livre ici qu’un disque dur de 9 Go, soit une capacité moitié moindre de celle de tous les autres serveurs de ces tests. Toutefois, à l’image des serveurs de Dell, il peut recevoir jusqu’à trois disques durs (Ultra 160 SCSI) lui conférant une capacité de stockage maximale de 109 Go. Les résultats obtenus lors de nos tests montrent une rapidité de traitement très correcte pour les pages HTTP dynamiques, mais seulement moyenne pour celui des pages statiques. En fait, il ne présente pas de défaut majeur, mais pas non plus de qualité exceptionnelle. La maintenance se révèle relativement aisée avec un système d’ouverture du boîtier sans outil, mais le système de refroidissement gêne le remplacement ou l’ajout de processeurs et de mémoire.
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HP Netserver LP 1000r W2K Un rapport qualité/prix médiocre
Pour la version Windows 2000 du Netserver LP 1000r, le même problème se pose que pour le modèle Linux : le prix apparaît élevé en considération de l’équipement proposé. Ce modèle est de plus proposé avec un disque dur de taille plus importante (18 Go, au lieu de 9 Go pour la version Linux) et fonctionnant à 15 000 tr/min, d’où un coût encore plus élevé. Les performances de ce serveur se sont révélées assez inégales. S’il est particulièrement efficace pour le traitement des pages dynamiques, il est en revanche moyen pour celui des pages statiques. La possibilité d’ouverture du boîtier sans outil simplifie la maintenance, mais le système de refroidissement gêne l’accès aux différents éléments (processeur, mémoire). Cette version du serveur de HP dispose, contrairement au modèle Linux, d’outils d’administration complets, avec une version finalisée de l’agent SNMP (toujours en cours de développement sur le modèle Linux).
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Dell PowerEdge 1550 Linux Des performances décevantes
Il est clair que ce n’est pas par ses capacités de traitement que cherche à se distinguer ce serveur, bon dernier lors de nos tests en laboratoire. Ses résultats sont même très inférieurs à ceux de ses homologues fonctionnant en environnement Windows 2000. De toute évidence, le constructeur a mis l’accent sur la simplicité de supervision et de maintenance. Les outils logiciels présents sont les mêmes pour les deux modèles PowerEdge présentés ici, et se révèlent particulièrement efficaces. Côté matériel, il peut accueillir jusqu’à trois disques durs Ultra 160 SCSI, ce qui lui confère une capacité de stockage maximale de 108 Go. De par sa conception, le boîtier s’intègre directement dans un rack et coulisse très facilement, afin de simplifier les opérations de maintenance. Les branchements du clavier, de la souris et de l’écran s’effectuent directement en façade. La conception interne est globalement réussie, mais interdit l’insertion d’une carte PCI longue.
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Compaq ProLiant 360DL W2K Un prix vraiment trop élevé
Comme la version en environnement Linux, c’est le prix qui est le principal défaut de ce serveur, d’autant qu’ici, si les performances mesurées concernant les pages dynamiques sont excellentes, celles obtenues pour le traitement des pages statiques sont plutôt moyennes. Pourtant, seuls le système d’exploitation et l’origine du disque dur (Seagate, contre Fujitsu pour la version Linux) diffèrent entre les deux modèles. Pour le reste, les caractéristiques sont identiques : un contrôleur Raid 1 est intégré à la carte mère et la capacité de stockage est limitée à 36 Go seulement. La maintenance ne pose pas de problème, à l’exception de l’insertion des cartes PCI dans les deux slots à disposition (un en 32 bits et un en 64 bits, fonctionnant tous deux à 33 MHz) peu aisée. Toutefois, signalons que ce modèle dégage moins de chaleur en cours de fonctionnement que son homologue, phénomène que l’on peut a priori imputer au disque dur en présence.
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IBM xSeries 330 Linux Un bus C2T très pratique
Le point fort de ce serveur réside dans son bus propriétaire C2T (Cable Chaining Technology), qui autorise la gestion de l’intégralité des serveurs directement à partir du même couple écran/clavier. Si les outils d’administration fournis avec ce serveur sont dans l’ensemble satisfaisants, ils sont les seuls à offrir une fonction d’arrêt d’un processus à distance. Côté matériel, le serveur ne peut accepter, à l’image de ceux de Compaq, que deux disques durs en interne, la capacité de stockage maximale culminant ici à 72 Go. Les performances réalisées lors de nos tests montrent une puissance de traitement insuffisante, en particulier pour les pages HTTP statiques, du fait principalement du disque dur fonctionnant à seulement 7 200 tr/min. La maintenance est simplifiée par des diodes internes signalant les éléments défectueux, mais il est regrettable qu’aucune ne soit prévue en externe (hormis celle de l’activité disque dur) et que ni les claviers ni les écrans ne puissent être enlevés à chaud.
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