- Comparatif : huit souris sans fil disséquées par le 01Lab
- Comment nous les avons testées
- Les vainqueurs : on aime, on n’aime pas…
- Les autres modèles : on aime, on n’aime pas…
- Les résultats du 01Lab
Apple – Magic Mouse
On aime… la finition sans faille
La qualité de finition et l’emploi de matériaux haut de gamme, c’est la marque de fabrique d’Apple. Ainsi, une banale souris se transforme tout de suite en un véritable condensé de technologie au design tendance. La surface de la souris est plaisante au toucher et se prend bien en main malgré sa forme allongée.
On n’aime pas… l’absence de fonctions avec Windows 7
Là où d’ordinaire se trouve la molette de défilement, Apple a implanté une surface tactile multipoint. Malheureusement, cette dernière n’est reconnue et ne fonctionne qu’avec Mac OS X ou éventuellement un Windows installé sur un Mac (avec les pilotes Bootcamp). Il n’y a pas de pilote officiel à ce jour pour une installation sur un PC. Dommage !
On n’aime pas… les patins qui glissent mal
Apple semble avoir négligé les patins. Ils ont tendance à accrocher la surface de travail et donc à faire du bruit. C’est assez insupportable à la longue et très surprenant de la part d’un concepteur d’objets « révolutionnaires ».
Logitech Anywhere Mouse MX
On aime… le rangement pour le récepteur USB
Lorsqu’on se sert d’une seule souris sans fil sur plusieurs PC, il faut pouvoir facilement transporter le récepteur sans fil USB. Logitech a donc pensé à prévoir un rangement sur mesure situé sous le capot inférieur de la souris.
On aime… la molette débrayable
Pour parcourir un long document, la molette peut être débrayée pour tourner à toute vitesse. Pour un défilement précis, appuyez dessus pour l’embrayer et retrouver un effet « cranté ».
On aime… le fonctionnement avec une seule pile
Bien que Logitech préconise l’utilisation de deux piles, la Anywhere MX fonctionne avec une seule pile sans que cela n’entrave la réactivité de son capteur.
Genius 905 BT
On aime… le bouton central
Le bouton présent sur le dos de la souris fait double emploi avec le clic de la molette de la souris. En le gardant enfoncé et en faisant bouger la souris, vous naviguez verticalement, horizontalement ou en diagonale dans un document ou une page Internet.
Microsoft Arc Touch Mouse
On aime… la partie aimantée pour le récepteur
Vu sa petite taille, le récepteur USB de la souris Microsoft peut s’égarer. La Touch Mouse étant dépourvue de logement pour le ranger, Microsoft propose d’aimanter l’émetteur-récepteur sous la souris.
On aime… la molette tactile
La partie argentée au milieu fait office de molette. Elle est tactile, reproduit les sensations et même le son d’une molette traditionnelle. Selon le mouvement effectué avec le doigt, le défilement va plus ou moins vite.
On n’aime pas… l’absence de boutons latéraux
La version Touch n’intègre aucun bouton de navigation sur les côtés. Et les fonctions Page précédente et Page suivante accessibles via diverses pressions sur la molette tactile reproduisent les actions des touches du clavier.
Razer Orochi
On aime… la possibilité de l’utiliser avec un fil
La petite Orochi de Razer peut être utilisée avec et sans fil. En USB ou en Bluetooth, le capteur ne fonctionne pas à la même vitesse ni à la même fréquence.
On n’aime pas… sa toute petite taille
Souris de voyage, l’Orochi est assez petite pour se glisser dans un sac ou bien dans la housse fournie. Mais, les grandes mains ne l’apprécieront guère et les boutons latéraux sont très moyennement accessibles.
Gyration Air Mouse Elite
On aime… le contrôle aérien
Elle s’utilise aussi bien sur le Bureau que dans les airs. Elle intègre un gyroscope qui détecte les mouvements effectués dans l’espace en plus de ceux du curseur.
On n’aime pas… les deux ports USB monopolisés
L’Air Mouse Elite a besoin de deux ports USB : un récepteur USB détectant l’utilisation de la souris, mais aussi un autre pour la base de recharge.
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