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Les autres modèles : on aime, on n’aime pas…

De la longueur des câbles à la finition de la coque en passant par les performances et le nombre d’interfaces, tous les détails ont été étudiés.

Storex U2eS-360

On aime… l’équerre eSATA


Si votre PC n’est pas équipé d’un connecteur eSATA en standard, Storex a pensé à vous : il fournit une équerre avec son disque, ce qui vous permettra de déporter un connecteur S-ATA de votre carte mère à l’arrière du boîtier
du PC. Pour savoir en détail comment procéder, vous pouvez vous reporter à notre mode d’emploi paru dans Micro Hebdo n?’ 527, page 34.

On aime… et on n’aime pas… l’interface unique


Le disque de Storex ne comporte en tout et pour tout qu’un unique connecteur eSATA. Cela limite sa compatibilité aux ordinateurs équipés d’une telle prise. Pour compenser ce défaut, Storex fourni un adaptateur eSATA vers USB 2. Un
petit accessoire qui dépanne, mais est moins pratique qu’une véritable double interface.

LaCie Hard Disk Design by Neil Poulton

On aime… et on n’aime pas… la finition de la coque


Soulignée par une diode bleue, la coque en plastique noir aspect laqué de ce disque est du plus bel effet. Passé la première impression, cette finition s’avère très salissante et il faudra jouer de la peau de chamois pour éliminer
les traces de doigts. Autre inconvénient plus embêtant, le plastique dissipe mal la chaleur et le disque a une fâcheuse tendance à chauffer puisqu’il dépasse les 48?’ en fonctionnement. Chaud devant !

On n’aime pas… la longueur des câbles


67 centimètres pour les câbles eSATA et USB, c’est un peu court et pas très pratique, surtout si votre ordinateur est posé sous le bureau.

Western Digital MyBook Home Edition

On aime… la triple interface


Le MyBook propose une prise FireWire 400, en plus de l’USB 2.0 et du eSATA. C’est appréciable pour ceux qui disposent d’une prise de ce type mais n’ont pas d’eSATA et dont tous les ports USB sont occupés.On n’aime pas… les performances


Débits eSATA moyens, consommation électrique élevée, dégagement de chaleur important, ce disque cumule les contre-performances et se trouve naturellement relégué en queue de classement.

Seagate FreeAgent Pro

On aime… et on n’aime pas… la connectique et les câbles


Triple interface USB 2.0, eSATA et FireWire pour ce disque, avec en plus des câbles de bonne longueur (1,62 m). Dommage que, comme pour Buffalo, le câble eSATA ne soit pas livré en standard.

On n’aime pas… le positionnement vertical uniquement


Alors que la plupart des disques de notre sélection peuvent être posés verticalement ou horizontalement, le Seagate intègre un pied qui lui impose un positionnement vertical et le rend aussi un peu plus encombrant que la
moyenne.

Buffalo DriveStation Combo4

On aime… la polyvalence


Ce disque dispose d’une connectique exhaustive, avec en plus de l’USB 2.0 et de l’eSATA deux ports FireWire 800 et un port FireWire 400. De quoi faire face à toutes les situations.

On aime… et on n’aime pas… les performances


Très décevant en eSATA, avec des taux de transfert qui plafonnent à 60 Mo/s, le DriveStation Combo4 s’en sort beaucoup mieux en USB 2.0 : avec 38 Mo/s en lecture, il est largement en tête dans cette catégorie.
Une avance due à la technologie TurboUSB de Buffalo, qui améliore sensiblement les performances de cette interface.

Maxtor OneTouch 4 Plus

On n’aime pas… l’absence de port eSATA


Maxtor ne propose pas encore de modèle eSATA de 1 téraoctet ; les performances de ce OneTouch sont donc impossibles à comparer avec les autres modèles de notre sélection. Si vous pouvez vous contenter du FireWire et de
l’USB 2.0, il n’en reste pas moins un bon produit avec un coût au gigaoctet compétitif et un bouton de synchronisation des données en façade.

Freecom Hard Drive Pro

On aime… la fonction de synchronisation


Freecom est l’un des seuls fabricants à fournir un logiciel de synchronisation, associé à un bouton en façade du disque dur. Après paramétrage, ce système vous permet de synchroniser, d’un simple geste du doigt, le contenu de votre
disque principal avec celui du disque externe.On n’aime pas… le prix


Plus de 300 euros et un coût au gigaoctet de 33 centimes, c’est trop ! En tout cas, cest beaucoup plus que la concurrence.

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Sébastien Casters