RW400SG, d’Olitec
On aime… la documentation tout en français
Ce routeur venant d’un constructeur hexagonal, on ne pouvait pas s’attendre à autre chose. Et c’est tant mieux, car la francisation complète du guide de démarrage, de la notice sur CD-Rom et de l’interface permet de régler
rapidement et efficacement ce modèle. De plus, cette documentation est très explicite et fait le point sur chacune des fonctions disponibles. Un modèle du genre, dont les autres fabricants feraient bien de s’inspirer.
USR805461, d’US Robotics
On aime… le serveur d’impression intégré
Avec ce routeur, il n’est pas nécessaire d’avoir un PC allumé en permanence pour piloter une imprimante. Son port USB permet en effet de lui brancher une imprimante qui servira, dès lors, à chaque PC connecté au réseau. Intégré
directement sur ce routeur, un serveur d’impression peut aussi être vendu séparément, sous forme de boîtier autonome. Branché sur le port USB d’une imprimante, ce boîtier se connecte à un réseau local, soit via un câble Ethernet, soit via une
liaison sans fil Wi-Fi.
On n’aime pas… l’absence de contrôle parental
Parents, attention à ce modèle qui ne possède pas de fonction de contrôle parental. Bien pratique et recommandée pour restreindre l’accès à des sites sensibles, cette fonction, pourtant présente sur chacun des modèles concurrents,
est absente de l’interface du routeur US Robotics. Une lacune que l’on devra pallier en installant un logiciel de contrôle parental sur chacun des PC connectés au routeur.
DI-634M, de D-Link et TEW-611BRP, de TRENDnet
On aime… les vis de fixation murale
Bien pratique pour gagner de la place, un kit de fixation au mur est toujours bienvenu avec un routeur. D-Link et TRENDnet vont plus loin et fournissent aussi les vis afin d’accrocher leur produit respectif à une paroi. Tous les
autres modèles se contentent du kit de fixation (soit quatre trous au dos de la boîte où viendront se glisser les vis), et le Netgear fait carrément l’impasse sur cette possibilité, la remplaçant par deux pieds amovibles.
On n’aime pas… le contrôle parental par liste blanche
D-Link et TRENDnet ont adopté une fonction de contrôle parental pour le moins bizarre. Au lieu d’indiquer les sites ou les extensions de domaines à bloquer, il faut répertorier dans l’interface ceux en libre accès ! Quand on
connaît l’immensité du Web, cette façon de faire semble totalement dépassée et plutôt ridicule, l’activation de cette fonction risquant de faire ressembler le Web que vous consultez à l’annuaire des sites Minitel de 1980 !
F5D8230FR4, de Belkin
On aime… la liste des FAI dans l’interface
Non content de proposer une interface en français, le routeur de Belkin intègre aussi les paramètres de connexions de la plupart des grands fournisseurs d’accès à Internet de l’Hexagone. Ainsi, pas besoin d’éplucher les pages de
support technique de son FAI pour trouver les bons paramètres correspondant à sa connexion.On n’aime pas… le contrôle parental payant après six mois
Mesquine, l’attitude de Belkin à propos du contrôle parental : cette fonction, bien pratique pour bloquer l’accès à certains sites sensibles, n’est activée gratuitement que six mois. Passé ce délai, il vous faut payer pour
continuer à en profiter et vous mettre en rapport avec un prestataire de service nommé Cerberian qui ne dispose même pas d’un site ou dune hot line en français. Complexe, opaque et pas vraiment justifiée, cette façon de faire justifie à elle seule
de se désintéresser de ce modèle, si vous tenez au contrôle parental.
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