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Les autres modèles
13 décembre 2001 à 00:00
Coolpix 775, de Nikon On aime… la simplicité du transfert des photos Le branchement de l’appareil sur l’ordinateur déclenche le transfert des photos vers NikonView, le…
Coolpix 775, de Nikon On aime… la simplicité du transfert des photos
Le branchement de l’appareil sur l’ordinateur déclenche le transfert des photos vers NikonView, le logiciel de récupération des clichés. Autre solution pour récupérer ses photos : lancez l’explorateur de Windows. L’appareil apparaît alors comme un lecteur amovible, et il suffit de sélectionner les fichiers et de les copier sur son disque dur
DX 3500, de Kodak On aime… la qualité des menus
La simplicité d’utilisation et le confort d’emploi sont une marque de fabrique chez Kodak. Sur l’écran LCD, les icônes sont agréables et bien expliquées. Quant aux textes, ils sont parfaitement lisibles. Chaque option s’accompagne d’un intitulé très explicite. Cet appareil est recommandé aux débutants
On n’aime pas… la piètre qualité du flash
Avec un flash de meilleure qualité, le DX 3500 aurait pu ravir la deuxième place du comparatif au modèle Nikon. Malheureusement, ce n’est pas le cas. L’éclairage du flash est nettement insuffisant. Conséquence, les couleurs des photos effectuées en intérieur sont ternes. En revanche, pour les clichés en extérieur, le Kodak fait partie des meilleurs modèles
Digital Revio KD-200Z, de Konica On n’aime pas… l’absence de protection
L’appareil de Konica est réservé aux utilisateurs soigneux et ordonnés. En effet, il est dépourvu de housse et de cache pour l’objectif. Il ne faudra donc guère s’étonner si ce dernier est rapidement sali ou rayé. Le modèle de Toshiba est dans le même cas
PowerShot A20, de Canon On aime… la qualité des photos
A quelques dixièmes près, le PowerShot A20 remportait la palme de la qualité des prises de vue. Pour des photos en intérieur, il est même le premier, grâce notamment à un flash de très bonne qualité. La résolution et les couleurs des photos sont bonnes. En extérieur, mêmes résultats, avec une mention spéciale pour le zoom
On n’aime pas… l’absence de logiciels de retouche d’images
Appareil le plus cher du comparatif (3 990 francs ou 608, 27 euros), le PowerShot A20 est livré sans suite logicielle pour la retouche d’images. Le seul programme intéressant est Photostitch. Ce dernier permet de créer des panoramas en assemblant des photos. C’est bien maigre, en comparaison de Fujifilm qui propose Adobe PhotoDeluxe et Microsoft Picture It! Express 2001
Cyber-Shot DSC-P50, de Sony On n’aime pas… la taille et le type de mémoire
Sony persiste et signe en continuant d’utiliser des cartes Memory Stick pour le stockage des photos. C’est l’un des points faibles de l’appareil pour deux raisons. D’abord, ce type de mémoire est cher (deux fois plus que les CompactFlash ou les SmartMedia). Ensuite, Sony livre ses appareils avec une carte de seulement 4 Mo. Ce qui, en théorie, est insuffisant pour stocker une image en haute définition, puisqu’en 1 600 X 1 200, une image non compressée pèse environ 6 Mo…
Camedia C2, d’Olympus On aime… les dimensions de l’appareil
Le Camedia C2 ne risque pas de déformer les poches. Il s’agit d’un des appareils les moins encombrants que nous avons testés, puisque ses dimensions sont de 11,1 X 6,3 X 3,8 cm pour seulement 210 grammes. A côté, le Photosmart 612 de Hewlett-Packard paraît énorme avec ses 12 cm de longueur et son poids supérieur à 300 grammes
Dimage E201, de Minolta On aime… la capture de films
Sans égaler la qualité d’un caméscope numérique, le Dimage E201 est capable d’enregistrer des séquences vidéo. Sur sa carte mémoire de 8 Mo, on peut ainsi stocker un film d’une durée d’une minute environ au format AVI
Photosmart 612, de HP On n’aime pas… la qualité des photos en intérieur
Nous avons été très déçus par la qualité des clichés du Photosmart 612. Notamment en intérieur, où la définition des photos est catastrophique avec une forte pixélisation. Certes, les couleurs sont respectées, mais la grosseur du grain est rédhibitoire
PDR-M21, de Toshiba On n’aime pas… la lenteur générale
L’appareil de Toshiba est de loin le plus médiocre de notre sélection. Il le doit notamment à une lenteur quasi générale. Tout d’abord, il faut 30 secondes pour transférer deux clichés sur un ordinateur. Et encore, heureusement que le transfert s’effectue par port USB… Ensuite, la navigation dans les différents menus se révèle très pénible avec un important temps de réaction entre chaque option. En outre, comptez plus de sept secondes entre deux prises de vue. Enfin, l’affichage d’une photo en mode non compressé sur lécran LCD prend plusieurs minutes !
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