Passer au contenu

Les autres : Kodak, Parrot

Kodak Pulse 7 poucesOn aime… la simplicité de configuration des services Exit la configuration depuis le cadre photo, tout se passe depuis l’ordinateur. Le Kodak Pulse…

Kodak Pulse 7 pouces

On aime… la simplicité de configuration des services

Exit la configuration depuis le cadre photo, tout se passe depuis l’ordinateur. Le Kodak Pulse se configure depuis un espace personnel, sur le site Kodak Pulse. C’est là que l’on saisit ses identifiants Facebook et que l’on crée son compte Kodak Gallery.

On aime… la finition

Kodak soigne la finition de son cadre en lui offrant un cache rabattable pour dissimuler le lecteur de cartes mémoire et le port USB. On apprécie également l’aspect mat de l’écran, qui a le gros avantage de ne pas craindre les reflets de la lumière.

On n’aime pas… les options minimalistes

Aussi simple soit-il à manipuler, grâce à son écran tactile, ce cadre photo ne propose pas d’autres modes d’affichage contrairement à d’autres modèles : ici, pas de calendrier ni de fonction de radio-réveil. Dommage !

Kodak Pulse 10 pouces

On aime… la finition

Le modèle 10 pouces de Kodak sait se mettre en valeur grâce à son design, ertes moins tape-à-l’oeil que les cadres photo de Parrot by Martin Szekely. On aime le contour façon bronze très élégant. Notre jury a attribué la même note d’ergonomie aux Kodak qu’aux Parrot.

On aime… le grand écran tactile

Avec sa dalle tactile de 26 cm de diagonale, ce Kodak se pilote avec une aisance remarquable. On peut faire défiler les photos, entrer les paramètres de connexion Wi-Fi et activer les services en ligne.

On n’aime pas… le pied fixe

Faute de pied pivotant ou escamotable, les Kodak Pulse ne peuvent s’installer qu’à l’horizontale. Mais les photos prises en mode portrait sont automatiquement remises dans le bon sens. Dans ce cas, elles s’affichent avec des bandes noires sur les côtés.

Parrot Grande Specchio by Martin Szekely 10

On aime… la molette de navigation

Parrot dispose sur le dessus de son cadre 10 pouces de luxe (hors de prix) une molette façon BlackBerry pour naviguer facilement dans les menus et activer différentes fonctions.

On aime… la connexion Bluetooth

Grâce à son module de communication intégré, le Grande Speccio récupère directement les images d’un smartphone compatible Bluetooth en un rien de temps. Plus pratique à mettre en œuvre que le Wi-Fi dont le cadre de Parrot est également équipé.

On n’aime pas… les commandes sensitives

Les touches de l’appareil nous ont fait mauvaise impression. Comme elles sont situées sur le dessus, il arrive qu’on les effleure par mégarde. Et pas de télécommande pour vous aider, même à ce niveau de prix. Rédhibitoire !

Parrot Specchio by Martin Szekely 7

On aime… la technologie NFC

Les deux cadres Parrot sont compatibles NFC, pour Near Field Communication. Il s’agit d’une technologie dite de proximité, qui permet le transfert de données sans fil entre deux appareils compatibles. Depuis un smartphone, vous pourrez envoyer vos photos vers la mémoire du cadre. Un luxe selon nous, les mobiles compatibles étant encore bien rares : quelques Nokia, le prochain Nexus S de Google.

On aime… les boutons pour parcourir les menus

Comme sur la plupart des cadres photo, les boutons pour piloter les menus sont situés à l’arrière. Ici, on s’en accommode, car ils sont disposés en croix. On prend vite le coup de main et on parcourt les menus sans trop réfléchir.

On aime et on n’aime pas… la finition

Ce cadre, une fois éteint, fait office de miroir teinté bronze et cuivre. Lorsque la dalle est allumée, l’écran apparaît. Mais ce revêtement nuit sérieusement au confort visuel du cadre qui reflète bien trop les lumières ambiantes.

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


David Nogueira