Main dans la main avec Progress Software, les auberges de jeunesse ont d’abord commencé par basculer sur internet leur système de réservation. Le serveur Webspeed Transaction Server de l’éditeur américain en gère les traitements et s’interface avec l’application de réservation client-serveur Sogetour ainsi qu’avec la base de données du même éditeur, qui équipe aussi en local la demi-douzaine d’auberges membres du réseau francilien.L’étape suivante a consisté en la canalisation, via le portail créé conjointement, des échanges en flux synchrones XML. Le middleware JMS (Java Message Service) SonicMQ, de Progress, joue ici le rôle de chef d’orchestre.
Suppression des saisies manuelles
D’un côté, SonicMQ permet au portail de vérifier l’état des réservations au niveau local. De l’autre, il relaie instantanément les mises à jour auprès de l’application centrale de réservation. La suppression des saisies manuelles est l’une des autres retombées. Jusqu’alors, les traitements de réservations s’effectuaient par fax ou par téléphone. Or, “ces canaux n’offrent pas, contrairement au média que constitue internet, une visibilité parfaite sur l’état des réservations”, remarque Stéphane Progrebnoï, directeur adjoint du d’Artagnan, la plus importante des auberges parisiennes. “Last but not least”, SonicMQ filtre et achemine quotidiennement une centaine de courriers électroniques.Avant d’en arriver là, il a toutefois fallu intégrer l’API de ce middleware Java au code Progress ?” le L4G éponyme de l’éditeur ?” de Sogetour. Un module complémentaire, fourni par l’éditeur, a facilité cette tâche. Omniprésent, Progress Software s’est invité dans ce projet en tant que seul et unique maître d’?”uvre. Les auberges de jeunesse n’en ayant pas les capacités internes, il a défini les spécifications du projet et en a piloté les étapes successives, dont l’encadrement des différents prestataires (graphisme, hébergement, système de paiement).
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