L’Internet Engineering Task Force (IETF) travaille à un projet dont l’objectif est l’utilisation de caractères non romains, tels que ceux du chinois, du japonais ou de l’arabe, pour l’adresse d’un site. Pour ce faire, les ingénieurs doivent aller au-delà des 128 caractères actuels de l’Ascii (American Standard Code for Information Interchange) afin de permettre le codage d’autres alphabets. Cette évolution est dictée par les tenants du commerce électronique, qui voient là l’occasion d’élargir leurs cibles de clients potentiels.
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