- Piratage : les services qui échappent à la Hadopi
- Le streaming
- Le téléchargement direct
- Les newsgroups
- Les VPN et les techniques pour masquer son IP
- Le P2P privé… ou crypté
Après μTorrent, Jdownloader ? Ce petit logiciel en Java est le compagnon préféré de ceux qui téléchargent des contenus contrefaits sur la ribambelle d’hébergeurs que compte désormais la Toile. Qu’ils se nomment Rapidshare, Megaupload ou encore Uploaded.to, Jdownloader les connaît tous et automatise l’accès aux fichiers de ces services… qui font un carton depuis quelques années déjà et vont certainement gagner encore des utilisateurs grâce à la Hadopi.
Le pirate a – presque – tout à y gagner : c’est plutôt sûr, enfantin à utiliser, et cela permet de trouver et de rapatrier très rapidement des contenus. Seul hic : pour profiter d’un débit correct et ne pas attendre avant chaque téléchargement, il faut souscrire un compte payant, et ce n’est pas donné : la facture s’élève à 9,99 euros par mois pour Megaupload, par exemple !
Autre avantage du direct download pour le pirate : Google. Faites le test vous-même avec Google Suggest. Entrez le nom d’un film, n’importe lequel : il y a de grandes chances que vous voyiez apparaître les noms « Rapidshare » ou « Megaupload » associés à lui. En un clic, Google est capable de renvoyer ainsi l’internaute vers des dizaines de sources, souvent des forums ou des blogs spécialisés dans les fichiers piratés, qui contiennent le bon fichier.
🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.