Le K20D ayant été annoncé il y a quelques semaines
et Pentax ayant confirmé que l’équipée commune tenait toujours,
puisque leur capteur était fabriqué par Samsung, il est donc logique de
voir débarquer ce GX20. Mis à part quelques différences de forme,
l’essentiel est là. Le traitement tous temps du boîtier a aussi été
retenu – avec un peu plus de 70 joints toriques pour éviter humidité et
poussière. La disposition des principales molettes et fonctions est
assez similaire à celle du K20D.
A l’intérieur, on retrouve donc le capteur de 14,6 mégapixels, la
stabilisation mécanique du capteur (Mega OIS), indépendante des
objectifs, ce qui n’est pas forcément une mauvaise chose pour ceux qui
veulent recycler de vieux objectifs Pentax (monture KAF).
Même chose
pour la sensibilité ISO maximale, fixée à 6400 ou encore la grande
nouveauté, la fonction LiveView. Il sera possible de cadrer ses photos
via l’écran de 6,86 cm, comme on peut le faire «traditionnellement» sur
les compacts ou les bridges numériques. Mais si cette fonction peut
être utile dans certains cas et séduire les primo-accédants
au reflex numérique, le GX20, comme le K20D, est assurément tourné vers
les amateurs éclairés. Certaines fonctions avancées le laissent penser
en tout cas, comme la possibilité d’accéder à l’enregistrement au
format Raw, grâce à un bouton dédié, ou comme la création de styles
d’images personnalisées, pour mettre en valeur certaines courbes
colorimétriques.
Le GX20 est donc un reflex séduisant. Reste une grosse inconnue, le
prix. Il ne sera dévoilé qu’à la fin mars ou courant avril, lorsque
l’appareil sera disponible. Quoi qu’il en soit, une prise en
main nous permettra peut-être d’avancer dans le jeu des
différences entre le GX20 et son cousin germain, le K20D de Pentax.
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