Les portables, on le sait, ont déjà du mal à soutenir la comparaison avec les derniers modèles de PC de bureau. Raison de plus pour faire attention à ce qu’on achète, même en bas de gamme. Les configurations testées ont ainsi provoqué quelques surprises. Le portable muni du processeur le plus puissant s’est révélé beaucoup moins rapide que des concurrents affublés d’un moteur nettement plus modeste. Au lieu des 28,5 d’indice de rapidité globale sur lesquels on pouvait tabler, le modèle Unika, doté d’un Pentium III à 1 GHz, n’a pu atteindre que 19. Il a même été surclassé par un Celeron à 750 MHz. L’explication ? Son disque dur s’est révélé deux fois plus lent que les meilleurs, et ses 64 Mo de mémoire, au lieu des 128 Mo alignés par les autres, nont rien arrangé.
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