Un scientifique britannique s’est fait greffer sous la peau une puce RFID contaminée par un virus informatique qu’elle a ensuite propagé sur des ordinateurs. Pour le chercheur, qui peut se vanter d’être le premier humain infecté par un code informatique, il s’agissait surtout de démontrer qu’avec le développement de ce type d’implants informatisés, de nouveaux risques pourraient voir le jour. Et ce n’est pas de la science-fiction ! Plusieurs sociétés envisagent de proposer ce type de puces comme badges d’identification ou même cartes de paiement
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