Le nouveau PDA de Toshiba se distingue par sa légèreté comparé aux autres modèles utilisant l’OS Pocket PC 2002. Le boîtier ne pèse que 136 grammes contre 200 grammes, voire plus, pour ses concurrents.Le Pocket PC e310 se loge facilement dans la poche grâce à ses dimensions réduites (12,6 x 8 cm pour une épaisseur de 1,4 cm). Il en résulte une surface d’affichage réduite (5,3 x 7,2 cm), mais néanmoins correcte.On apprécie la définition de 240 x 320 pixels en 65 536 couleurs, mais on regrette les reflets importants au niveau de l’écran, ce qui pose un réel problème de lisibilité dans les bureaux éclairés par des néons.Par ailleurs, Toshiba a soigné la navigation en dotant son appareil non seulement d’une touche de navigation directionnelle placée sous l’écran, mais également d’une molette de défilement et de validation placée sur le côté, vers le haut du boîtier.
Quatre méthodes pour l’entrée de texte
En outre, le PDA comporte un bouton d’enregistrement pour la fonction de dictaphone numérique et quatre touches de raccourcis (calendrier, tâches, page d’accueil et contacts).Pour l’entrée du texte, le Pocket PC e310 offre le choix entre quatre méthodes : le clavier virtuel qui apparaît à l’écran, la reconnaissance d’écriture de mots Transcriber 1.5 de Microsoft, la reconnaissance des lettres (écriture en caractères naturels compatible avec le système Jot de CIC) ou la reconnaissance des blocs (procédé compatible avec le système Graffiti du Palm).Pour les deux dernières méthodes, une zone d’écriture apparaît à l’écran, d’où une diminution de la zone d’affichage.Outre sa légèreté, le Pocket PC e310 se distingue par son prix très attractif de 499 euros ht, qui le positionne comme une excellente alternative aux PDA de type Palm.Si Toshiba utilise le même processeur que les autres modèles Pocket PC 2002, un StrongARM SA-1110 à 206 MHz, il n’intègre que 32 Mo de mémoire vive au lieu de 64 Mo habituellement. Cette mémoire sert à l’exécution des applications et au stockage des données, ce qui peut limiter le nombre d’applications actives simultanément. L’extension de la mémoire pour le stockage des données est assurée par un connecteur SD (Secure Digital) qui accepte aussi les cartes MMC.On regrette toutefois l’absence d’un connecteur CompactFlash. Toshiba vend ses cartes SD de 32, 64 et 128 Mo aux prix respectifs de 99, 120 et 240 euros ht. Le constructeur propose aussi une carte SD pour les communications Bluetooth à 235 euros ht.
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