- Tout Facebook est-il déjà traduit en français ?
- Le site français est-il le même que celui d’origine ?
- Facebook, à quoi ça sert ?
- Est-ce un réseau social comme les autres ?
- Pourquoi Facebook fait-il peur ?
- Pour en tirer le meilleur parti, doit-on utiliser un pseudo ou conserver son patronyme ?
- Poster sa vie sur Facebook, n’est-ce pas la montrer à tous les passants ?
- Je t’aurais bien ‘ poké ‘, mais t’as trop une tête de zombie !
- Facebook, un repère d’activistes ?
- Dites, M. Zuckerberg, y’aurait pas moyen de devenir actionnaire de Facebook ?
- Le ‘ phénomène Facebook ‘ va-t-il s’essouffler ?
C’est la question qui commence à poindre, comme elle a fini par surgir après l’effervescence et l’excitation autour de Second Life. A la fin du mois de février le magazine américain Forbes
publiait des chiffres, issus d’une enquête Nielsen Online, témoignant d’un ralentissement de la fréquentation de Facebook. Ainsi, en janvier 2008, 8,5 millions de Britanniques étaient passés sur le site, contre 8,9 millions le mois
précédent. En France, sur la même période, le nombre de visiteurs est passé de 1,89 à 1,87 million et en Espagne, de 628 000 à 659 000. Pas très significative en valeur, et portant sur un mois seulement, cette soi-disant baisse de
régime est à prendre avec des pincettes. Mais cest la première fois que le site connaît une telle évolution, même minime.
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