Branle-bas de combat dans le domaine du jeu vidéo : le système européen de classification des jeux vidéo, le Pegi, ne sied pas à Nadine Morano, la secrétaire d’Etat à la Famille. Sur l’antenne de RMC, elle a jugé ses pictogrammes et les mentions d’âge “ insuffisamment visibles et connus ”. Quant au texte sur les risques d’épilepsie, il est “ écrit en tout petit, on ne voit rien ”. Bronca immédiate de Jean-Claude Larue, le président du Syndicat des éditeurs de logiciels de loisir, pour qui ce genre de déclaration souligne une méconnaissance du dossier ainsi que le désaveu du travail des éditeurs. Reste que ce système n’a rien de contraignant : un vendeur ne peut empêcher un enfant d’acheter un titre déconseillé pour son âge
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