Un câble, une coque, deux boutons et une molette : on ne peut pas faire plus simple. La Salmosa de Razer est unesouris très dépouillée, loin des modèles Star Trek bardés de boutons, demolettes et d’options exotiques. Il faut dire que l’objectif duconstructeur n’est pas de délivrer une télécommande multifonction avectire-bouchon et couteau à saucisson, mais un outil de précision, vraie « arme » virtuelle pour les joueurs, et notamment les amateurs de jeux detir à la première personne et de stratégie, où la réactivité de lasouris peut être d’une grande aide.
A cette fin, l’accent est mis par la marque sur la résolution ducapteur ainsi que le temps de réponse. Pour le coup, on est bien loin dumulot de l’Amiga du grand frère. Le capteur infrarouge de l’animal a eneffet une précision de 1800 points par pouce, ce qui est vraiment trop si on se contente d’utiliser Word et naviguer sur Internet, mais excellent si l’on abesoin de réactivité dans les jeux. Le temps de latence en impose luiaussi, puisque le rongeur répond à la milliseconde, soit beaucoup plusvite qu’une souris traditionnelle.
En plus de ces caractéristiques hors norme, cette souris a unemolette programmable, un pelage adapté aux gauchers comme aux droitierset des pattes en téflon qui ne font pas de bruit (à cause des chatssans doute). Et elle est dotée d’une queue de plus de deux mètres, unelongueur qui sera la bienvenue si votre tour est placée un peu loin devotre espace de jeu.
Disponible à 29 €, l’histoire ne dit pas ce qui se passe si on la trempe dans l’eau.
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