‘ Cher (e)s ami (e)s, cher (e)s camarades, chacun et chacune d’entre vous peut imaginer l’émotion qui est la mienne aujourd’hui ‘… Non, ce ne sont pas les sentiments ressentis par Ségolène Royal quand
elle s’apprête à envoyer un courriel, mais les premiers mots des épreuves de son discours d’investiture, expédiées par erreur dans les rédactions vendredi 24 novembre au soir.La boulette, car c’en est une, serait le fait du staff de Vincent Peillon, député européen et plume de la candidate socialiste à l’élection présidentielle. Un second courriel envoyé dans la foulée a bien tenté de
réparer les dégâts (ERREUR DE MANIPULATION. Veuillez ne pas tenir compte du message précédent que vous avez reçu par inadvertance. MERCI DE VOTRE COMPREHENSION). Mais le mal était fait. Voilà ce arrive quand on ne maîtrise pas totalement sa
messagerie électronique…
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