Procès Microsoft
Depuis le début du procès, le Edward Felten, n’avait jusque-là fait que maintenir ses déclarations datant de la première partie du procès, affirmant que Microsoft avait et a toujours la possibilité de séparer Internet Explorer de Windows sans dommage, alors que l’éditeur juge cette fusion indispensable. Un débat cette fois stérile.
En évoquant la question de la sécurité, le magistrat semble, lui, vouloir revenir sur un de ses échecs. L’an dernier, une cour d’appel fédérale avait rejeté le jugement où il qualifiait le navigateur de produit distinct et demandait à Microsoft de le séparer du système d’exploitation.
Décision rejetée, au motif qu’elle ne voyait pas en quoi cette intégration pouvait gêner l’utilisateur final.
Interrogé sur la question de la sécurité, Felten a alors expliqué qu’il n’existait aucun logiciel fiable à 100% donc qu’effectivement un navigateur intégré peut se révéler dangereux. Une forme de revanche pour le juge, mais peut-être pas de quoi faire changer de sentiment la cour d’appel.
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