Utilisant la technologie d’inspections de paquets (Stateful Inspection), le F100-3/B de Netasq est doté d’un processeur Celeron 466 MHz, d’une mémoire vive de 64 Mo extensible à 256 Mo, mais aussi d’un disque dur de 6 Go. Cet espace de stockage important sert à stocker les comptes rendus d’activité et les alarmes générées par le coupe-feu. Les informations ainsi enregistrées permettent à l’administrateur d’affiner, dès sa phase d’installation, la configuration du coupe-feu en éliminant, par exemple, les règles superflues. Ce disque dur permet aussi au F100-3/B de répondre aux besoins des entreprises qui doivent conserver la trace de leurs transactions électroniques sur de longues durées. Conçu plus particulièrement pour les réseaux de 300 à 1 200 utilisateurs, le F100-3/B gère, selon Netasq, 40 000 sessions simultanées. Quant au débit utile, le constructeur déclare avoir atteint les 80 Mbit/s avec 400 règles de filtrage de complexité moyenne. “Le coupe-feu ne doit plus constituer un passage étroit ou un frein à l’évolution des besoins en bande passante”, affirme Rogier Van Der Wal.
Bientôt, une version pourvue de six ports Ethernet
Le bo”tier est équipé de trois cartes Ethernet 10/100 Intel Pro 100. À court terme, le constructeur prévoit de commercialiser une version pourvue de six ports Ethernet. “Cela permettra aux entreprises de sécuriser un par un les segments critiques de leurs réseaux”, commente Rogier Van der Wal.
🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.
