L’an dernier à la même époque, le commerce électronique ne représentait que 0,2 % des revenus de PPR, c’est-à-dire des ventes cumulées du Printemps, de Conformama, de la Fnac, des services financiers, de Guilbert et, enfin, des produits de luxe. Cette même année, Pinault-Printemps-La Redoute avait annoncé une perte d’exploitation de 96 millions de francs sur son activité Internet.La société, qui compte 45 sites dans le monde, tient à souligner la réussite de Redcats (Redoute Catalogue) aux Etats-Unis et de Guilbert (distribution de fournitures et mobiliers de bureau), dont les ventes en ligne ont respectivement augmenté de 287 et 510 %.Mais, en fait, la majeure partie des ventes en ligne proviennent des sites de la Fnac. Elles doublent et représentent désormais 0,4 % des vente totales de PPR et 1 % des ventes totales de biens culturels.PPR, par l’intermédiaire de son fonds Musiwap), les achats groupés ( Lestbuyit) ou encore le référencement ( Netbooster).
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