La solution la plus répandue n’est pas forcément la plus appropriée. Les outsiders peuvent parfois présenter des avantages concurrentiels très intéressants, même en ce qui concerne les prix”, reconnaît Jacques Félix, de la direction du contrôle de gestion et de la comptabilité du Crédit commercial de France (CCF). A l’occasion du passage à l’an 2000 – et surtout de celui à l’euro -, son service s’est équipé d’un PGI. Son déploiement, qui s’étalera jusqu’à janvier 2001, mettra en ?”uvre des modules de gestion des fournisseurs, des achats et des engagements. Après une première offre refusée par la direction, Jacques Félix a reconsidéré celle du fournisseur canadien Geac. Il avait été éliminé au premier tour à cause des déconvenues que le CCF avait rencontrées avec les anciens produits DBS-MSA de la société. “Après avoir conjointement tiré un trait sur le passé, une évidence s’est imposée : l’offre était beaucoup plus adaptée au niveau du volume et des fonctionnalités. ” La direction générale a donné son aval. La direction des achats a ensuite pris le relais pour des négociations qui ont duré cinq mois environ. Bilan : 4 MF d’économie entre les deux offres
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