Les principaux procédés qui coexistent avec le BURN-Proof (utilisé par Sanyo, Plextor et LiteOn) sont l’ExacLink (Samsung, Cyber Drive), le FlextraLink (Asus), le JustLink (Ricoh, AOpen), le SafeBurn (Yamaha, Oak Technologies), le SafeLink (Waitec), le Seamless Link (Acer, Philips, Traxdata) et le Write Proof (Teac). Il n’y a souvent, pour l’essentiel, que le nom qui change, et il est bien difficile de faire la différence. La seule amélioration notable porte sur la façon dont la reprise de la gravure s’effectue. Avec le SafeBurn, c’est pratiquement parfait. Si le BURN-Proof évite bien les échecs de gravure, il a aussi l’inconvénient de créer un minuscule espace à l’endroit où l’enregistrement a été repris. Ce petit trou, appelé gap, est en principe inférieur à 45 millièmes de millimètre de diamètre. Il arrive qu’il soit source de problème et provoque des erreurs de lecture. Mais l’incident est rare.
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