Les Palm et Visor de ce test sont au mieux équipés d’un processeur 16 bits à 33 MHz, tandis que les Pocket PC utilisent des processeurs 32 bits jusqu’à 206 MHz. Cette puissance pouvait être considérée jusqu’à présent comme un handicap en termes de prix et d’autonomie, surtout quand on se cantonnait aux fonctions répertoire et agenda. Elle devient cependant un atout de taille pour le multimédia. Il suffit de jeter un coup d’?”il aux lignes 15 et 21 du tableau pour se rendre compte des différences entre Pocket PC sur les fonctions bureautiques et MP3/Vidéo. Elles exigent un processeur puissant, ce qui n’étonnera personne. De plus, avec l’arrivée du système d’exploitation Pocket PC 2002, nombre de constructeurs du camp Windows vont proposer des assistants numériques certes peu différenciés entre eux, mais offrant pléthore d’applications multimédias et sans fil avec, en prime, des écrans couleur de qualité nettement supérieure. Cette réserve de puissance manque cruellement aujourd’hui au monde Palm, et cest dommage.
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