ATI et nVidia, les deux acteurs principaux du marché, ont chacune à leur catalogue un processeur capable d’afficher un milliard de pixels par seconde, mais aussi de réaliser des fonctions d’ombrage sophistiquées qui améliorent le rendu.
Mais le nombre de transistors nécessaire pour réaliser ces processeurs fait exploser le prix des cartes. Et l’emploi de la mémoire DDR qui, selon nos tests, améliore certes de 50 % la rapidité, n’arrange pas le prix de revient.
Au total, ces cartes coûtent deux ou trois fois le prix d’une console de jeux !
Mais ces dernières sont limitées par le téléviseur ; de leur côté, la majorité des jeux sur PC n’ont pas besoin de telles vitesses.
C’est donc du côté de la qualité d’affichage que devraient se concentrer les améliorations futures.
Des innovations sont en préparation, comme l’utilisation de surfaces élémentaires courbes, appelées nurbs, au lieu des polygones plats usuels et dune palette de couleurs moins restrictives que le modèle RVB.
Une amélioration qui promet de nous en mettre plein la vue.
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