Le 19 décembre dernier, l’Autorité a ainsi abrogé toutes les ressources en numérotation attribuées en 1998, en 1999 et en 2000 à RSL Com. A la demande de Level 3 Communications SA, elle a, également, abrogé son préfixe ” 1653 ” de sélection d’un réseau de transport à 4 chiffres, ainsi que le préfixe ” 1619 ” attribué à Graphtel. Elle a aussi abrogé à sa demande le numéro court 3102 qu’elle avait attribué à Siris.L’Autorité a d’autre part annulé les fréquences dans les bandes 17,7-19,7 GHz ; et 24,5-26,5 GHz, qu’elle avait réservées à Winstar Communications ; les fréquences dans la bande 22-23,6 GHz détenues par Belgacom France ; ainsi que les fréquences dans la bande 26 GHz, qui avaient été attribuées à BLR Services dans les régions Alsace, Auvergne, Bourgogne, Centre, Corse, Languedoc-Roussillon, Limousin, Lorraine, Midi-Pyrénées, Paca et Rhône-Alpes.Jugeant inutile d’être à la fois opérateur national et régional de services de boucles locales radio, le groupe LDCom a, en effet, transféré le portefeuille clients et les infrastructures de BLR Services à Squadran (ex-Fortel).Plusieurs opérateurs, en revanche, ont demandé et obtenu des ressources supplémentaires. SFR s’est ainsi vu attribuer le numéro court 3668 (FOOT) pour ses services d’information et de promotion sur le football. Free Telecom a obtenu les numéros de la forme 08 60 51 MCDU pour ses services d’accès Internet.FirstMark Communications France, opérateur national de services de boucles locales radio, s’est vu doté de fréquences dans les bandes 10,7-11,7 GHz, 17,9-19,7 GHz et 38 GHz. Quant à Landtel France SAS, opérateur régional de BLR, il a obtenu des fréquences dans les bandes 17,7-19,7 et 38 GHz en Ile-de-France (www.art-telecom.fr).
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