L’exercice 1999 a été difficile pour les éditeurs: le passage de l’an 2000 a freiné de nombreux investissements, et l’installation d’un PGI est réputée coûteuse.La base installée, sur laquelle se fonde notre enquête, n’est pas récente. Les critiques ont donc eu le temps de s’affiner. C’est sans doute ce qui explique la baisse de la satisfaction enregistrée. Le passage à l’euro et à l’an 2000 a obligé les entreprises à nettoyer et à réaménager leurs systèmes existants et à finaliser la mise en ?”uvre de leurs progiciels. Dès lors, il n’est pas étonnant que l’on retrouve en tête du mécontentement les critères de coût, de facilité d’installation (et donc de maintenance) et dinteropérabilité.
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