Tous disposent d’une connectique complète comprenant deux prises Péritel, trois entrées HDMI 1.3 (dont une sur le côté), une entrée PC et les entrées audio qui vont avec, une entrée YUV, des entrées audio/vidéo analogiques doublées S-Vidéo, une sortie optique et un emplacement pour module PCMCIA afin d’accéder aux chaînes payantes. Notez que le port série RS-232C est là pour intégrer le téléviseur au sein d’un système audio/vidéo domotisé et assurer sa maintenance.
Pas de nouveauté au niveau de l’interface utilisateur qui reste grosso modo la même que sur les modèles précédents. Les options de réglage sont elles aussi identiques, avec la possibilité de sélectionner trois températures de couleurs préréglées ou de calibrer soi-même l’image avec les paramètres habituels. Quatre fonctions, associées au traitement vidéo XD EngineFull HD, complétent le tableau: XD Contrast (ajustement automatique de la luminosité), XD Colour (optimisation automatique des couleurs), XD NR et Mpeg-2 (deux réducteurs de bruit). Un mode «avancé» a pour objet d’intensifier le niveau de noirs et de produire une image plus «cinéma».
Enfin, les téléviseurs LCD de la série LG5500 sont dotés de la fonction Simplink, appellation maison du protocole CEC, qui (grâce à une interface propriétaire) sert à piloter et à chaîner plusieurs appareils compatibles en HDMI. Pour le moment, les fonctions de pilotage restent limitées, mais peut-être qu’une mise à jour logicielle de l’appareil les étoffera. Qui sait…
Deux nouveautés sont également disponibles côté plasma avec la série PG6500 déclinée en 42 et 50 pouces. Ces deux téléviseurs utilisent une dalle HD Ready (1024×768 pour le 42 pouces et 1366×768 pour le 50 pouces) hyper véloce (0,001m/s) et sont équipés d’un tuner TNT HD. Il faut dire que LG a d’abord misé sur le prix avec un 42 pouces affiché à 1239 euros et un 50 pouces situé juste sous la barre des 1500 euros.
Les deux appareils abritent quatre entrées HDMI et profitent d’un nouveau filtre permettant d’améliorer l’éclat des couleurs. Ils bénéficient également d’un mode 100 Hz et du traitement vidéo Dual XD Engine. Celui-ci permet notamment aux contrastes de grimper en mode dynamique jusqu’à 30 000 :1. Le désentrelacement est assuré par l’inusable DCDi Faroudja et les quelques options de calibrage disponibles devraient produire une belle image.
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