La filiale française du constructeur réseau veut supprimer un quart des postes de son activité système radio fixe.
En forte croissance il y a environ deux ans, le marché du DECT (Digital Enhanced Cordless Telecommunications) ne tient plus ses promesses. Lucent tente donc de s’adapter à ce retournement de tendance.
Sur les 1400 salariés concernés, 209 personnes du site du Plessis-Robinson (Hauts-de-Seine), 113 de Déville-lès-Rouen (Seine-Maritime) et deux de Lannion (Côtes-d’Armor) seront réaffectées dans la mesure du possible, a indiqué la direction. “Nous avons des opportunités d’emploi pour plus de la moitié des personnes concernées”,assure-t-on chez Lucent France.
Pour contrebalancer cette mesure de restructuration, Lucent prévoit d’ouvrir un centre de recherche et de développement pour les réseaux mobiles de troisième génération (UMTS). Ce site emploiera 300 salariés, toujours selon la direction. Le lieu dimplantation est toujours en négociation.
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