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La réduction de bruit active, pourquoi ça compte ?

Auparavant privilège de casques très onéreux, la réduction de bruit active s’invite désormais sur de nombreux écouteurs. On vous explique comment nous testons sa qualité dans notre labo.

Bose, mais aussi Sony et Apple, avec ses récents Airpods Pro : la réduction de bruit active (ANC) est désormais une fonction que les amateurs de casques connaissent bien, car elle se démocratise : auparavant cantonnée aux casques haut de gamme, on la trouve désormais un peu partout, y compris sur des appareils à moins de 100 euros. 

Mais attention, il y a réduction de bruit et réduction de bruit ! D’abord, cette technologie ne fait pas de miracle : si elle fonctionne bien pour annuler un bruit constant (réacteurs d’un avion, sons du métro, par exemple), elle ne permet toutefois pas de s’isoler complètement du monde extérieur. D’autre part, l’ANC, qui repose sur l’emploi de micros qui captent le bruit ambiant, dépend évidemment de la qualité de ceux-ci. Ainsi que de la puce qui va analyser les signaux, dont les performances varient beaucoup d’un modèle de casque à un autre. 

Pour tester l’ANC, nous plaçons le casque sur un support muni de micros binauraux, puis nous diffusons des bruits enregistrés (métro, train, etc…) avec ANC et sans ANC. La différence entre les deux mesures de volume enregistrées par nos capteurs nous permet de déterminer la qualité de la réduction de bruit !

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La rédaction