Nvidia revient dans la course à la performance avec deux nouvelles cartes graphiques. Mais, très énergivores, elles ne répondent plus aux attentes de l’époque.
Depuis octobre 2009, le marché des cartes graphiques haut de gamme était dominé par ATI/AMD avec les cartes Radeon HD 5000, les premières à être compatibles avec DirectX 11. Depuis, Nvidia a eu du mal à riposter : une architecture à repenser, des problèmes de conception, une puissance du processeur pas toujours stable… Le concepteur a, certes, pris du retard, mais, avec le printemps, l’arbre à GeForce bourgeonne à nouveau, et les deux nouvelles pousses (ou puces) se nomment GTX 480 et GTX 470. La première est la nouvelle référence haut de gamme de la marque tandis que la seconde fait office de très bon milieu de gamme. Nvidia opte pour la mémoire GDDR5 et double la mise sur le nombre de processeurs par rapport à la génération précédente (480 sur la GTX 480). Quant aux transistors, ils passent de 1,4 à 3 milliards.
Dans le peloton de tête Les unités de calcul au sein de ces puces sont organisées en grappes et chacune d’elles bénéficie d’un moteur graphique voué au traitement des données. Ce dernier intègre désormais une puce dite de “ tessellation ” , procédé introduit par DirectX 11 qui consiste à subdiviser ou à fusionner les triangles composant tout objet 3D afin de réduire ou augmenter sa complexité. Enfin, chaque processeur de calcul est capable de gérer plusieurs types de données graphiques (pixel, vertex…), mais peut aussi se charger des calculs d’encodage en soutien du CPU (fonction GPGPU – calcul générique sur processeur graphique – via le langage Cuda), des calculs liés à la physique (gestion hyper-réaliste de la gravité, des chocs…) et de l’affichage 3D stéréoscopique sur un à trois écrans (voir encadré) .Pour nos tests, nous avons comparé les deux nouvelles cartes de Nvidia à une GeForce GTX 285 et à celles équipées de puces ATI/AMD Radeon haut de gamme. Par rapport à la GTX 285, le gain de performance est indéniable sur les jeux (voir tableau) : les GTX 480 et 470 se retrouvent dans le peloton de tête avec nos titres de référence, quelle que soit la version de DirectX utilisée. Les écarts vont de 3 à 25 % face aux solutions mono-GPU concurrentes, toutes résolutions confondues. Toute-fois, l’ATI/AMD Radeon HD 5970, munie de ses deux GPU et de ses 2 Go de mémoire GDDR5 domine toujours les débats : elle s’avère de 11 à 18 % plus performante que la GTX 480. Le nombre d’images par seconde affiché par les cartes GTX reste étourdissant, surtout lorsque les filtres et les détails sont activés à haut niveau. Plus vous les sollicitez, plus elles ont du répondant… Mais attention, ce n’est pas sans effet sur la consommation et la température de fonctionnement !
Ça chauffe sous le capot Nous avons mesuré la consommation des cartes sur notre plate-forme. Résultat : 296 watts pour la GeForce GTX 480 et 252 W pour la GTX 470 ! Soit 46 unités de plus que ce qu’annonce Nvidia pour la GTX 480. Elle est aussi énergivore qu’une GeForce GTX 295, équipée, rappelons-le, de deux processeurs, et n’est qu’à quelques encablures de la HD 5970. Et en affichage 2D, les deux consomment entre 36 et 49 W ! Côté thermomètre, le mercure grimpe très très haut. Surtout si vous activez la tessellation, le calcul de la physique (PhysX) et que vous jouez en Full HD avec tous les réglages (ou presque) poussés au maximum : la GTX 480 atteint 97°C et la GTX 470, 92°C ! Pas très “ vertes ” ces GeForce, à une époque où le respect de l’environnement est une priorité… Enfin, ces dernières ne trouveront leur place que dans une grande tour bien ventilée et nettoyée régulièrement, la poussière et une mauvaise aération pouvant lui être fatales. Et si le silence est pour vous déterminant, vous allez déchanter : leur niveau sonore est très élevé.Au final, les GeForce GTX 480 et 470 sont donc de bonnes cartes graphiques. Au moment où vous lirez ces lignes, elles devraient être disponibles en quantité. Reste à consulter votre compte en banque, mais également à considérer l’offre ATI dans les mêmes tranches de prix.
Pas de précipitation Alors faut-il craquer tout de suite pour l’une de ces deux nouvelles cartes ? La GTX 480 est annoncée à 480 euros, soit 100 euros de plus qu’une Radeon HD 5870, distancée avec la plupart des jeux, et 100 euros de moins qu’une HD 5970, plus performante, mais encore plus gourmande en électricité. Bref, bien qu’étant la meilleure carte mono-GPU du marché, la GTX 480 n’a pas un positionnement assez agressif pour se démarquer de ses rivales. Idem pour la GTX 470. Vendue 350 euros, elle est plus chère que la HD 5850, sa concurrente directe, mais se situe, question rendement, entre cette dernière et la HD 5870.Si nous prenons en compte les nuisances sonores de ces cartes, leur consommation électrique et leur température de fonctionnement élevées, nous vous conseillons vivement d’attendre que leurs pilotes soient bien optimisés et capables de réguler leur appétit vorace. Les fabricants (Asus, MSI, EVGA) ne devraient pas tarder à proposer des solutions de refroidissement améliorées sur ces modèles. Un problème restera toutefois à résoudre : l’intégration, délicate, de ces puces dans les ordinateurs portables…
PC de bureau – Dell studio XPS 8100 : Pour joueurs raisonnables La preuve qu’il n’est pas indispensable de dépenser plusieurs milliers d’euros pour jouer sérieusement.
Chez Dell, il y a deux styles de machines de jeux. Les racées, très nerveuses, tape-à-l’œil et totalement déraisonnables, vendues sous la marque Alienware. Et d’autres, moins exubérantes et qui ne vous ruineront pas, dont nous avons testé l’un des représentants. Architecturé autour d’un processeur Intel Core i5 750, le Studio XPS 8100 est vendu moins de 850 euros. Les trois éléments clés – processeur, mémoire vive et carte graphique – se sont montrés plus que convaincants. Affichant de très bons résultats lors de nos tests 3DMark 06 (15 662 points) et 3DMark Vantage (9 873 points en mode performance), ce PC est paré pour jouer dans des résolutions extrêmes. Un écran 30 pouces avec une définition de 2560 points par 1600 ne lui fera pas peur !
Les bonnes performances ne sont pas cantonnées à la partie graphique. En effet, non content d’offrir une connectique complète, Dell intègre à sa machine deux disques durs de 500 Go configurés en Raid 0 pour lesquels nous avons mesuré des taux de transfert maximal de 212 Mo/s en lecture et 280 Mo/s en écriture ! Si ce PC possède un excellent rapport performances/prix, il aura beaucoup de mal à passer inaperçu sur un bureau. Assez encombrant (41 x 19 x 45 cm), il est surtout très bruyant lorsqu’il est fortement sollicité (44,6 dB). Vous serez alors obligé de monter le son pour jouer ou de vous équiper d’un casque audio à réduction de bruit (voir p. 78) . Pour vous procurer cette machine telle que nous l’avons testée, saisissez le code e-ref DMFR5-DRX8102 sur le site de Dell.
Les plus
La finition Le rapport performances/prix
Les moins
La consommation Le bruit
Note
16/20
Prix
850 euros env.
Caractéristiques
Processeur : Intel Core i5 750 à 4 x 2,66 GHzMémoire vive : 6 Go de DDR3Disques durs : 2 x 500 Go, Sata (7 200 tpm) en Raid 0Circuit graphique : ATI Radeon HD 5770,1 Go de mémoire vidéo dédiéeCircuit audio : IntégréGraveur : DVD, CDCommunications : Wi-Fi b/g/n, Ethernet 10/100/1000Connecteurs : 8 USB, DVI, Firewire, entrée microphone et sortie casqueAutre équipement : lecteur de car tes mémoire 12-en-1Logiciel : Windows 7 Édition Familiale Premium 64 bitsDimensions/Poids : 40,9 x 18.5 x 52,6 cm / 10,2 kg
À notre avis
Bien équilibrée et performante, cette configuration conviendra à ceux qui veulent jouer “ intelligemment ” , sans se ruiner. Attention, le prix ne comprend pas l’écran.
PC portable – Toshiba Qosmio F60-10J : Réservoir trop petit Ce 15 pouces possède un bon rapport performances/encombrement mais ne brille pas par son autonomie.
Avec son processeur Intel Core i5 430 millions et son circuit graphique Nvidia GeForce GT 330 millions, le Qosmio F60 délivre des performances suffisantes pour répondre à la plupart des besoins (mais attention au bruit !). Vous pouvez même jouer avec, à condition de ne pas installer de titres trop récents, gourmands en ressources 3D. Si on apprécie les 4 Go de mémoire vive, pleinement exploités par la version 64 bits de Windows 7, on regrette en revanche que le disque dur soit limité à 500 Go. Son poids inférieur à 3 kg permet de l’emporter en déplacement. Hélas, son autonomie en lecture vidéo ne dépasse pas 1 h 30. L’écran de 15,6 pouces au format 16/9 est de qualité et affiche un très bon contraste. Le manque de luminosité s’avère pénalisant en utilisation extérieure. La définition de 1366 points par 768 n’est certes pas du Full HD, mais permet quand même de regarder des vidéos en haute définition confortablement puisque le portable est doté d’un graveur Blu-ray, ce qui peut justifier son prix élevé. Et si vous voulez un affichage plus grand, il suffit de le relier à votre téléviseur HD via la sortie HDMI. Les connecteurs habituels sont présents, dont un port combo USB/eSata. Le clavier est de bonne facture et bénéficie d’un pavé numérique séparé. Enfin, le multimédia est à l’honneur avec un tuner TNT/analogique, une télécommande de type Media Center et une webcam haute définition (1 280 points par 800).
Les plus
Le niveau d’équipement Le son de bonne qualité Le graveur Blu-ray
Les moins
Le prix élevé L’autonomie trop faible Le bruit en pleine charge
Note
14/20
Prix
1 000 euros env.
Caractéristiques
Processeur : Intel Core i5 430 millions à 2 x 2,26 GHzQuantité de mémoire : 4 Go DDR3Disque dur : 500 Go S-Ata à 5 400 tr/minCircuit graphique : Nvidia GeForce GT 330 millions, 1 Go de mémoire vidéo dédiéeÉcran : 15,6 pouces 16/9,1 366 x 768 pointsCircuit audio : intégréGraveur : Blu-ray 6xCommunications : Ethernet 10/100/1000, Wi-Fi 802.11b/g/n, BluetoothConnecteurs : 3 ports USB 2, 1 port USB/eSata, entrée microphone, sortie casque, sortie S/PDif, connecteurs VGA et HDMIAutre équipement : Lecteur de cartes mémoire SD/MMC/MS/MS Pro/xD, Webcam HD 1 280 x 720 pointsLogiciels : Windows 7 Éd. Familiale Premium 64Garantie : 1 anDimensions/Poids : 38,76 x 26,68 x 3,48 cm / 2,93 kg
À notre avis
Polyvalent et pas trop encombrant, le prix est justifié par le niveau d’équipement. Dommage que son autonomie soit trop faible.
PC portable – Fujitsu – Lifebook NH570 MF032FR : Affichage et autonomie XXL Puissant et étonnamment autonome, ce 18,4 pouces est fait pour travailler… longtemps.
Avec 4 heures et 7 minutes en lecture DivX continue mesurées par notre labo, le Lifebook NH570 MF032FR de Fujitsu brille par son excellente autonomie. Si nous parlions d’un netbook, ce serait une contre-performance, mais avec un processeur double cœur à 2,66 GHz et un écran de 18,4 pouces, c’est tout à fait remarquable. Les 4 Go de mémoire vive DDR3 et le confortable disque dur de 500 Go achèvent de nous convaincre de sa puissance. Petit bémol pour ce qui concerne la solution graphique retenue : une carte Nvidia GeForce 330. Le score de 2 700 points sous 3DMark Vantage en mode “ performance ” n’est certes pas ridicule, mais il nous permet d’en déduire que ce portable sera un peu juste pour aborder les derniers jeux 3D sans dégrader la qualité graphique. Le giga de mémoire vidéo embarqué ne change rien à l’affaire.
Autre écueil, la définition d’écran – inhabituelle ? retenue par le fabricant. Pourquoi diable Fujitsu n’a-t-il pas retenu une dalle Full HD (1 920 points par 1 080), alors que sa machine intègre un combo lecteur Blu-ray/graveur DVD ? Mystère. La solution logicielle choisie – celle de Cyberlink – pour la lecture de Blu-ray est toutefois un gage de qualité. Question confort, le large pavé tactile multipoint remplit correctement sa fonction et se montre plutôt agréable, tout comme le clavier, lequel intègre un pavé numérique. La restitution sonore, même si on reste loin de la qualité d’un kit d’enceintes externe, est aussi assez convaincante. En revanche, ce portable est beaucoup trop bruyant en pleine charge…
Les plus
Autonomie record Lecteur Blu-ray graveur DVD Processeur puissant
Les moins
Plutôt bruyant Résolution d’écran atypique Carte graphique assez faible
Note
12/20
Prix
1 200 euros env.
Caractéristiques
Processeur : Intel Core i7-620 millions à 2 x 2,66 GHzMémoire vive : 4 Go de DDR3Disques durs : 2 x 500 Go, Sata (5 400 tpm)Circuit graphique Nvidia GeForce GT 330M, 1 Go de mémoire vidéo dédiéeÉcran : 18,4 pouces format 16/9, 1 680 x 945 pointsCircuit audio : intégréGraveur : DVD / CDCommunications : Wi-Fi b/g/n, Bluetooth, Ethernet 10 /100 /1000Connecteurs : 4 USB, VGA, HDMI, eSata, S/PDIF, Firewire, entrée microphone et sortie casqueAutres équipements : Lecteur de car tes mémoire 2-en-1 et webcamLogiciel : Windows 7 Édition professionnelle 64 bitsDimensions / Poids : 43,7 x 3,01 x 28,6 cm / 3,6 kg
À notre avis
La puissance est là, hormis pour la partie graphique un peu à la traîne. Autre défaut : la résolution d’écran n’est pas optimale.
Imprimante multifonction – Brother DCP-395CN : Problème de jauge Avec ses 15 cm de hauteur et son minuscule bac à feuilles (100 pages), la DCP-395CN est ultracompacte. Grâce à son écran LCD, elle peut être utilisée pour réaliser des impressions ou des copies même si le PC est éteint. Un assistant efficace permet d’installer l’imprimante en quelques minutes, aussi bien en USB qu’en réseau, via l’interface Ethernet. Le coût d’utilisation de l’appareil est assez élevé : nos tests d’autonomie permettent d’estimer à environ 4 centimes le coût d’impression d’une page de texte et d’environ 14 centimes pour une page mêlant textes et graphismes en couleur. Bon point, la qualité obtenue lors d’impressions de photos couleur est excellente. L’image peut être envoyée depuis le PC ou lue directement sur une carte mémoire, une clé USB ou un appareil photo compatible PictBridge. Lors de nos tests, la DCP-395CN ne s’est pas montrée très véloce, avec une cadence de 3 ppm pour du texte. C’est peu ! En brouillon, elle passe à 11,8 ppm mais la qualité laisse alors franchement à désirer… Idem pour les copies : il faut 32 s pour une page A4 en niveaux de gris et 43 s en couleur.
Les plus
Appareil compact Facile à installer en réseau Qualité du mode photo
Les moins
Système de contrôle de l’encre peu fiable
Note
12/20
Prix
100 euros env.
Bridge numérique – Nikon Coolpix P100 : Zoom zoom Successeur du P90, le Coolpix P100 en reprend la principale caractéristique, l’écran orientable, toujours aussi ludique à utiliser pour une contre-plongée ou un cliché à bout de bras. En revanche, pas d’autoportrait possible : il ne pivote pas à 180° ! Par ailleurs, en abaissant la définition (de 14 à 10 Mpix), Nikon a introduit dans son boîtier un zoom x26 plus lumineux et la vidéo en Full HD (1 080 p) avec son stéréo et mise au point continue. Dans les faits, le zoom x26 n’est exploitable qu’en posant l’appareil sur une surface stable. Mais pour sa portée ambitieuse, le rendu reste satisfaisant, et peu d’appareils offrent une telle plage focale. En revanche, l’appareil ne “ shoote ” qu’en JPeg, et vu la balance des blancs capricieuse et le manque de piqué des photos, on regrette de ne pas disposer des fichiers bruts ou Raw pour corriger certaines aberrations. On peut s’interroger enfin sur l’utilité réelle de vidéos en Full HD. La qualité de l’enregistrement est plutôt correcte, mais incomparable avec l’excellent TZ7 de Panasonic.
Les plus
Très polyvalent Large plage focale Écran inclinable
Les moins
Photos dignes d’un compact Pas de fichiers Raw Finition plastique légère
Note
14/20
Prix
400 euros env.
PC de bureau – Medion – The Touch X9613 : Il a tout pour plaire ! Ce tout-en-un tactile brille par son équipement et ses performances. Seule la 3D est à la peine et le prix… élevé.
Voici un PC monobloc qui se distingue par son niveau d’équipement élevé (tuner TV, Wi-Fi, Bluetooth). L’ordinateur est conçu autour d’un processeur quadricœur Intel Core 2 Quad Q9000, de 4 Go de mémoire vive et de deux disques durs de 500 Go. La machine est donc suffisamment puissante pour faire fonctionner les logiciels gourmands, pour faire du traitement photo ou du montage vidéo par exemple. En revanche, la carte graphique Nvidia GeForce GT240 millions ne permet pas de jouer dans de bonnes conditions avec les titres 3D récents nécessitant beaucoup de ressources. Vous pouvez cependant utiliser vos anciens jeux et regarder des vidéos en haute définition. Le X9613 bénéficie en outre d’un lecteur Blu-ray et d’un écran 24 pouces Full HD (60,5 cm de diagonale en 1 920 points par 1 080). Non seulement lumineux et doté d’un excellent contraste, il est en plus tactile et multipoint ! Vous contrôlez donc facilement les programmes, en particulier ceux fournis par Medion et Microsoft (dans le Touch Pack de Windows 7). Signalons que le PC dispose d’un second écran, nettement plus petit (6,5 x 5 cm) qui exploite la technologie Sideshow de Microsoft. Ainsi, il est possible d’exécuter un programme sur ce petit afficheur comme le Lecteur Windows Media voire un gadget pour afficher des flux RSS ou la météo. Enfin, Medion livre une télécommande de type Media Center et un clavier sans fil, hélas sans pavé numérique mais avec un pavé tactile. Ce dernier est cependant trop petit (4,5 x 3,5 cm) pour être confortablement utilisé.
Les plus
L’équipement L’écran tactile full HD Le lecteur Blu-ray
Les moins
La carte graphique peu puissante Le clavier et son pavé tactile
Note
14/20
Prix
1 800 euros env.
Caractéristiques
Processeur : Intel Core 2 Quad Q9000 à 4 x 2 GHzQuantité de mémoire : 4 Go DDR3Disque dur : 2 x 500 Go S-Ata 2 à 5 400 tr/minCircuit graphique Nvidia GeForce GT240 millions, 1 Go de mémoire vidéo dédiéeÉcran : 24 pouces 16/9 tactile, 1 920 x 1 080 pointsCircuit audio : intégré 7.1Lecteur optique : combo lecteur Blu-ray/graveur DVD (à insertion) Communications : Ethernet 10/100/1000, 802.11a/b/g/n, BluetoothConnecteurs : port Express Card, 3 ports USB 2, 1 port eSata, entrée microphone, entrée audio, sortie casque, sortie S/PDif, connecteur VGA, entré et sortie HDMI, entrée PéritelAutre équipement : Lecteur de cartes mémoire SD/MMC, MS, MS Pro, lecteur d’empreintes digitales, télécommande, WebcamLogiciels : Windows 7 Edition Familiale Premium 64 bits, Works 9, CyberLink Power 2 Go, Medion Home Cinema Suite, Microsoft Touch PackGarantie : 2 ansPoids : 12 kg
À notre avis
Le X9613 est bien adapté à un usage multimédia. Son prix est justifié par le niveau d’équipement, mais la carte graphique n’est pas à la hauteur.
Moniteur – Iiyama – Prolite E2710HDS-B1 : Un bon écran au pied d’argile Iiyama frappe fort dans les 27 pouces (69 cm), avec un tarif en baisse et une dalle LCD qui s’affine au fil des générations. Les performances de ce Full HD sont parmi les meilleures du secteur, notamment grâce à un temps de réponse de 5 ms que l’on pourra booster artificiellement grâce à la fonction “ overdrive ” . Autre bonne surprise, l’écran affiche une excellente luminosité de 435 cd/m2 , alors qu’il ne consomme que 44 W. Le taux de contraste (989:1) souffre en revanche de noirs peu profonds, améliorables grâce aux nombreux et pertinents réglages du menu de configuration. Les couleurs sont aussi très bien rendues, d’une manière juste et réaliste. Contrepartie inévitable, la qualité du pied de l’écran est sacrifiée pour rogner sur les coûts de fabrication. Le moniteur se retrouve donc sur un socle en plastique bas de gamme, il ne pourra pas faire varier sa hauteur, ni passer en mode portrait. Iiyama a néanmoins fait l’effort d’ajouter quatre prises USB sur le côté et à l’arrière de son écran, sympathique consolation !
Les plus
Les performances Les quatre ports USB Le menu de réglages
Les moins
Le pied bas de gamme Des noirs perfectibles
Note
15/20
Prix
350 euros env.
Baladeur multimédia – Samsung YP-M1 : Du potentiel Écran Amoled, puce graphique Nvidia Tegra, haut-parleurs stéréo, port micro SD intégré pour étendre la mémoire, Bluetooth, radio FM, lecture e-book et fils RSS, fonction dictaphone, petits jeux… le Samsung YP-M1 est né sous une bonne étoile. Pour être vraiment complet, il ne lui manque que la connexion Wi-Fi. Autre argument, ce baladeur tactile est censé lire les fichiers vidéo en 720 lignes progressives sans réencodage préalable. En réalité, cette lecture en HD ne fonctionne qu’avec certains types de fichiers notamment WMV et MPeg-4. L’impasse est en revanche totale sur les conteneurs de type MKV. Bonne performance et ergonomie générale, mais tout n’est pas encore parfait.
Les plus
La taille de l’écran La technologie capacitive Le processeur à 1 GHz
Les moins
L’absence de lecteur DIVx L’autonomie
Note
13/20
Prix
240 euros env.
PC de bureau – Materiel.net 1337 : Un rêve matérialisé ! Imaginez une configuration embarquant les meilleurs composants du moment. Un rêve devenu réalité.
Si le terme “ Alienware ” suscite quelques fantasmes chez certains joueurs, les quatre chiffres “ 1337 ” risquent de les mettre en transe. C’est en effet le nom de code d’une configuration taillée pour la performance. Le site Materiel.net profite de la sortie des GeForce GTX 480 de Nvidia (voir page 86) pour mettre en vente une machine montée à la main avec soin et bon sens… et qui ne propose que le top du top ! Un boîtier Corsair Obsidian 800D et un bloc d’alimentation Enermax Revolution de 1 250 W accueillent les composants, eux-mêmes placés sur une carte mère EVGA de dernière génération.
Après avoir salivé sur l’intérieur de la bête, visible facilement grâce à la paroi latérale gauche en Plexiglas, nous avons testé ce remarquable PC sous toutes les coutures. S’il s’avère silencieux au démarrage et lorsqu’on effectue des tâches basiques sous Windows 7, il vaut mieux prévoir des boules Quies si vous souhaitez jouer, dessiner en 3D ou calculer. Côté consommation, les 720 W sont atteints en pleine charge (Materiel.net annonce même plus de 800 W). En fait, les nuisances sonores et la consommation électrique sont à la hauteur des aptitudes exceptionnelles de l’ordinateur, celui-ci étant à ce jour le plus puissant que nous ayons eu entre les mains.
Tous les jeux de dernière génération tournent sans problème : avec une résolution de 2 560 x 1 600 points et des détails graphiques réglés au plus haut, Bad Company 2 est fluide et magnifique à l’écran, tout comme Dirt 2 (sous DirectX 11) qui ne descend pas en dessous des 80 im/s avec tous les effets visuels au maximum. Une véritable vitrine technologique. Un rêve éveillé pour tous les utilisateurs qui ne regardent pas à la dépense.
Les plus
Des performances exceptionnelles Un assemblage parfait
Les moins
GTX 480 bruyantes en couple Une température élevée
Note
16/20
Prix
5 050 euros env.
Caractéristiques
Processeur : Intel Core i7-980X à 6 x 3,33 GHzMémoire vive : 12 Go DDR3 Corsair DominatorDisques durs : 2 x 200 Go de SSD OCZ en Raid 0 et 2 To Sata II 7 200 tr/minCircuit graphique : 2 Nvidia GeForce GTX 480 en SLI (3 172 Mo de mémoire vidéo)Écran : NonCircuit audio : intégré 7.1Graveur : LG Blu-rayCommunication : Ethernet 10 /100 /1000Connecteurs : 12 USB, 2 Firewire, 1 eSata, 4 DVI, 2 HDMI, S/PDif, sortie casque et entrée microphone en façadeLogiciel : Windows 7 Édition Ultimate 64 bitsDimensions : 61,2 x 23 x 61 cm
Moniteur – Dell – Ultrasharp U2711 : La limousine du LCD Le dernier 27 pouces de Dell comblera les yeux des plus exigeants, à condition de pouvoir se l’offrir.
Ce moniteur ne s’adresse qu’aux technophiles à fort pouvoir d’achat… passionnés de l’image ou semi-professionnels à la recherche d’un écran digne de ce nom. Et la qualité est bien au rendez-vous. Grâce à une dalle LCD à technologie IPS (In Plane Switching ), le U2711 offre une expérience visuelle exemplaire. Les angles de vision sont excellents, avec une luminosité de 347 cd/m2 et un taux de contraste de 1082:1. Le rendu des couleurs est une délectation, et pour cause : il est possible de sélectionner deux modes sRGB et Adobe RGB, calibrés en usine sur chaque modèle. Un rapport de calibrage est d’ailleurs fourni avec l’écran, attestant la fidélité des profils. En prime, Dell a réussi à afficher une résolution de 2 560 x 1 440 points sur une diagonale de 27 pouces (68,6 cm) au format 16 :9, taille souvent limitée à du Full HD (1 920 x 1 080). Le temps de réponse est modeste, mais typique des dalles IPS. Nous l’avons mesuré à 11 ms, ce qui est le plus souvent suffisant. Le U2711 fourmille d’autres raffinements : les interfaces vidéo sont complètes avec quatre ports USB et un lecteur de cartes mémoire xD, SD, MS et MMC sur le côté du moniteur. Il pourra d’ailleurs faire du Picture by Picture , en affichant deux sources vidéo à l’écran. Bref, même s’il est cher à l’usage avec une consommation de 117 W en fonctionnement, ce bébé de 7,72 kg nous a bien dilaté les pupilles !
Les plus
La dalle IPS Le calibrage en usine Le nombre d’entrées-sorties
Les moins
Pas de pivot en mode portrait
Note
17/20
Prix
1 120 euros env.
Caractéristiques
Technologie : IPSRétroéclairage : Néons CCFLDiagonale : 27″ (68,6 cm)Définition : 2 560 x 1 440 points, 60 HzFormat 16:9Montage mural Oui, Vesa 100 x 100Haut-parleurs NonConnecteurs Composite RCA, composante YUV, HDMI, 2 x DVI-DL, D-Sub, DisplayPort, prise casque Jack 3,5 mm, 4 x USB, lecteur de carte mémoireCâbles fournis D-Sub, DVI Dual Link, DisplayPortPoids / Dimensions : 7,72 kg / 64,7 cm x 20 cm x 42,8 cmGarantie : 3 ans
À notre avis
Ce 27 pouces est un écran d’exception, dont le prix stratosphérique est justifié par la qualité de sa dalle IPS. Pour les technophiles perfectionnistes !
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