- Nous avons testé trois livres numériques
- La plus simple
- La plus agréable
- La plus high-tech
- Les caractéristiques techniques
Aux 280 euros du prix initial de la tablette Cybook, il est préférable d’ajouter 30 euros supplémentaires pour lui offrir une couverture de protection en plastique (40 euros pour une version plus chic, en cuir). Du coup, l’avantage du prix s’efface, et la tablette se retrouve en concurrence directe avec la Sony Reader. Prix équivalent, même gabarit, écran de taille identique (comparable à celle d’une page de livre de poche). Une différence toutefois : l’écran de la Cybook n’affiche que quatre niveaux de gris, contre huit pour la Sony Reader. Une qualité d’affichage convenable pour lire du texte, suffisante pour des images, insatisfaisante pour afficher des mélanges plus subtils comme des bandes dessinées. En ce qui concerne la prise en main, la Cybook possède des atouts et des faiblesses. On apprécie la possibilité de choisir entre douze tailles de texte quand le format du livre le permet (comme le format Mobipocket, du nom du site sur lequel on peut télécharger de tels ouvrages), et même trois polices de caractères. La tablette offre aussi le plus grand espace de stockage interne, soit 512 Mo. En revanche, s’il est possible de naviguer à l’aide du bouton multidirectionnel placé en façade, les boutons de raccourcis situés sur la tranche sont d’un accès peu pratique. De plus, si la Cybook accepte en théorie les PDF, en pratique, leur lecture n’est pas garantie et dépend des fichiers. Dernier désagrément : la bibliothèque affiche tout le contenu sur un même niveau, sans respect des dossiers de stockage
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