La solution de GRC du groupe est maintenant équipée d’une interface utilisateur avec navigateur web. C’est le progrès me direz-vous. En effet, l’intégration à l’applicatif de commande, déjà sous forme web,
permet un traitement plus fluide et un gain de temps pour les commerciaux.En revanche, nous attendions un gain de performance par rapport au client lourd. Et là, grande déception. En fait de client web léger, la nouvelle interface a tenté de reproduire le client Windows, et transfère des pages lourdes
truffées de graphismes.Elle a conservé une bonne partie du travail du client en imposant des traitements locaux importants, qui sont assurés par les PC des utilisateurs et plus par le serveur Citrix. Nos PC ne sont pas des bombes, d’où un écroulement
des performances (donc de la productivité).Autre souci cet été avec les attaques virales. Après avoir passé des heures sur le blocage d’une fonction de GRC, nous avons compris que le problème n’apparaissait que sur les machines dotées des patchs Microsoft.
Diagnostic confirmé par l’éditeur de la solution de GRC, qui annonce un conflit entre un patch IE6 récent et son applicatif, et propose donc à son tour un patch…Les risques évités par le patch Microsoft ne nous concernent pas vraiment, mais nous utilisons maintenant un outil généraliste en constante évolution, qui propose des fonctions inutiles au plus grand nombre tout en n’assurant pas
de manière performante ce dont nous avons besoin pour notre GRC.Très séduit au départ par la simplicité du concept de client web universel, j’en viens à me demander si nous n’allons pas assurer la maintenance d’un marteau-pilon pour écraser des mouches.* MM. Red, Green, Yellow et Purple sont cadres dans des services informatiques. Chaque mercredi, à tour de rôle, ils vous font partager le fruit de leur expérience. Cette semaine, Mister Red…Prochaine chronique mercredi 17 septembre
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