Plus de 80 % des dirigeants pensent que la gestion des connaissances bouleversera la culture de leur entreprise et se disent prêts à impliquer dans ce projet leurs responsables des ressources humaines et des systèmes d’information.
Ce constat, qui ressort dune
récente étude menée par Andersen Consulting, Trivium et Valoris auprès des entreprises françaises, est le leitmotiv du
Club Gestion des connaissances. Essayer d’apporter l'” European Touch ” dans ce domaine, est en effet pour son président, Jean-Louis Ermine, l’une des missions de
cette association de 40 entreprises, dont un quart de PME.Thierry Monteil, membre du conseil d’administration du Club, pilote ainsi un projet de gestion des connaissances au sein de la DSI de Cofinoga. L’établissement de crédit, filiale des Galeries Lafayette, emploie 3 000
salariés dont la moitié à Bordeaux dans ce qui est peut-être le plus grand centre d’appels européen (moyenne d’âge générale de 31 ans). Depuis un an, sa mission, soutenue par la direction générale, consiste à “générer
la demande” et à “créer l’envie”avant de s’attaquer aux problématiques techniques du projet.Même si la gestion des connaissances ne peut, en effet, se résumer à l’utilisation de technologies, la présence au sein du Club de Microsoft France, qui a dû intégrer 160 nouveaux arrivants en un an, lui offrira une vitrine
technologique.
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