En Suède, le Parti pirate (Piratpartiet), fondé en 2006, a réussi à envoyer deux élus au Parlement européen, grâce au score de 7,1 %. En France, on en est encore très loin, d’autant qu’en 2009 on aura assisté à une drôle de querelle de clochers entre différentes formations : le Parti pirate, le Parti pirate canal historique, et le Parti pirate français. Au mois de septembre, ce dernier était victime d’une attaque informatique, avant d’annoncer sa dissolution (réelle cette fois), au profit du Parti pirate… le seul encore existant à ce jour. Il s’est dégagé de tout cela une impression d’amateurisme, pénalisante pour les idées de ces défenseurs 2009, le Parti pirate obtenait 2 % lors d’une législative partielle en région parisienne. La formation va récidiver, elle présentera une liste en Ile-de-France pour les élections régionales.
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