Au cours de sa première interview pour 3news, une chaîne de TV néo-zélandaise, le fondateur de Megaupload revient sur ses “ deux mois de cauchemar ” qui ont suivi son arrestation “ inattendue ”. Il se réfugie en effet derrière l’impossibilité de tout surveiller : “ Nous avions une bande passante de 1,5 téraoctet ! Environ 800 transferts de fichiers par seconde, 24 h/24, 365 jours par an. Nous sommes une petite société. Vous ne pouviez pas vous attendre à ce que nous fassions la police avec ce volume de trafic. ”
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