Il vaut mieux en rire que d’en pleurer, se sont dit James Franco et Seth Rogen à propos du méga-piratage de Sony Pictures. Depuis quelques jours, les hackers ont publié quantité de données personnelles et confidentielles sur les salariés de la firme, qui a par ailleurs produit la comédie L’interview qui tue, dans laquelle les deux acteurs jouent les rôles principaux.
A l’occasion de l’émission de divertissement Saturday Night Live sur NBC, les deux loustics ont montré de fausses photos intimes que les hackers auraient subtilisées. On les voit dans des postures aussi ridicules que suggestives. C’est aussi une manière provoquante pour James Franco de rebondir sur les rumeurs persistantes à propos de sa présumée orientation sexuelle gay.
James Franco finit son intervention par un autre clin d’œil : « les filles qui ont reçu de moi des messages Instagram cette année et l’année passée, ce sont eux qui les ont envoyés, c’était les hackers ». Cette réplique fait référence à un mini-scandale révélé par la presse people américaine en avril dernier. Ainsi, James Franco aurait essayé de draguer une fille de 17 ans sur Instagram…
Ce qui est vrai, néanmoins, c’est que les hackers de Sony Pictures ont révélé le cachet reçu par James Franco et Seth Rogen pour leur film « L’interview qui tue » : 6,5 millions de dollars pour le premier et 8,4 millions de dollars pour le second. On est content pour eux.
Lire aussi :
Le piratage de Sony Pictures serait l’œuvre de hackers nord-coréens, le 02/12/2014
🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.
