AMD anime aussi les PDA
AMD a lancé un nouveau processeur, l’Au1100, issu de son rachat de la société Alchemy Semiconductor en février. L’Au1100, qui succède à l’Au1000 d’Alchemy, fonctionne de 333 à 500 MHz et est compatible avec les systèmes d’exploitation Windows CE et Linux. Destinant ce processeur aux appareils mobiles, AMD s’attaque ainsi aux processeurs de la gamme XScale d’Intel.
Microsoft vérifie la sécurité de Windows
L’éditeur a lancé un outil, MBSA (Microsoft Baseline Security Analyzer), destiné à rechercher les failles de sécurité des PC fonctionnant avec Windows. Téléchargeable sur le site de l’éditeur, MBSA vérifie les versions des logiciels installés et la présence de leurs patchs respectifs (Windows 2000 pour station de travail et serveur, Windows XP, IIS 4.0 et 5.0, etc.). MBSA établit alors un rapport et propose de télécharger les rustines éventuelles.
BMC vient enfin au framework
De la bande des quatre grands de la supervision, BMC était le seul à ne pas encore disposer d’une plate-forme centrale sur laquelle viennent s’enficher des modules spécifiques aux systèmes ou aux logiciels à surveiller. C’est maintenant le cas. Le nom reste le même, mais au-delà d’une solution classique ?” agent, console et module de connaissance ?”, cette septième version de Patrol atteint dorénavant le statut de ” serveur de consoles “.BMC annonce, parallèlement, des évolutions en termes de déploiement et de sécurité. Ainsi, au chiffrement entre la console et l’agent, s’ajoutent quatre autres niveaux de sûreté. Le socle Patrol 7 sera fourni avec tous les composants à venir. Disponible en mode client-serveur Windows, ou en version Web, Patrol 7 ne pourra pas gérer les anciennes versions des modules d’administration. Un kit de migration est fourni à cet effet.
Satellites Alcatel, SES et Gilat sassocient
Alcatel Space & Skybridge va entrer, pour 20 %, dans la société créée par SES-Global (Astra en Europe) ?” opérateur de satellites géostationnaires ?” et Gilat ?” spécialiste américain des microstations terriennes (VSAT). But : fournir des services large bande birectionnels aux entreprises, dans un premier temps, et, ultérieurement, au grand public, qui n’aurait accès ni à l’ADSL ni au réseaux câblés. Leur commercialisation s’effectuera via des opérateurs de télécommunications, des fournisseurs de services et des fournisseurs de programmes de télévision par satellite. La future société, dont le nom n’est pas encore connu, dispose une capitalisation d’environ 200 millions d’euros.
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