Inforad annonce un nouvel « avertisseur de dangers » communautaire, le Smart. Aussi appelé « outil d’aide à la conduite », il fait partie de ces produits que l’on ne doit plus appeler « des avertisseurs de radars ».
Succédant à l’Inforad CI, le Smart en reprend la coque, le format (10,5 x 6,5 x 1,9 cm pour 130 g) et l’écran (7,6 cm de diagonale). Il bénéficie toutefois d’une montée en puissance. En effet, le processeur ARM 11 est cadencé à 600 MHz contre 400 MHz pour le CI. Plus important, le Smart offre une couverture Europe alors que son prédécesseur se limitait à la France. La communauté Inforad serait composée de 1,9 million d’utilisateurs, selon le constructeur.
Plus qu’un simple avertisseur
Comme le CI, le Smart peut s’utiliser à moto, à condition d’acheter le kit moto communicant (environ 70 euros sur le site). Le constructeur indique que le mode moto a été amélioré. Ainsi, une fois configuré, le boîtier se charge de couper les alertes – notamment de sécurité – qui ne sont pas liées à ce moyen de transport, comme « attachez votre ceinture ».
La carte SIM intégrée dans le Smart remplit trois fonctions. La première, celle de base, consiste à recevoir les alertes par le biais d’une connexion data sur le réseau téléphonique. La deuxième permet de l’utiliser pour contacter un service de conciergerie. Un service payant (une grille tarifaire est disponible sur le site du constructeur) permettant, entre autres, de réserver une table dans un restaurant. Troisième fonction, pour un euro par mois, cette carte SIM peut servir à recevoir ses appels gratuitement en France. Un moyen simple et économique de disposer d’une seconde ligne téléphonique dans sa voiture (ou sur sa moto). L’autonomie du Smart serait de huit heures.
L’appareil est disponible au prix de 199 euros, télécommande au volant fournie.
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