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IMRglobal lance sa nouvelle génération de composants logiciels Java

e-Components est constitué de composants techniques et métier
Plus de 2 000 d’entre-eux sont déjà disponibles

Les nouvelles architectures Internet-intranet ont conduit à revoir les couches techniques du développement, qui s’avèrent différentes de celles du client-serveur. D’où la nécessité de compléter notre catalogue avec des composants logiciels Java “, explique François de Verdière, directeur technologie et des processus, d’IMRglobal, à propos de la nouvelle offre e-Components. Cette offre comprend 2 000 composants fondés sur un modèle d’architecture de type MVC (Model View Controller), développés avec Java 2 Enterprise Edition. Elle se divise en deux catégories : des composants techniques et des composants métier, principalement destinés au développement des applications de gestion appliquées au commerce électronique et pour les domaines de l’assurance, de la banque et du transport. L’intérêt de ce type de composants est d’offrir un patrimoine commun à plusieurs applications, et de réduire les coûts et les temps de développement.

Une utilisation transversale quelle que soit l’activité

Les composants techniques sont réutilisables de façon transversale, quelle que soit l’activité de l’entreprise. Ils couvrent la gestion des interfaces homme-machine (IHM), l’accès aux données, la gestion des habilitations, etc. L’ensemble des composants sont disponibles pour les interfaces HTML, JSP, XML, WAP et sont compatibles avec la plupart des serveurs d’applications Java. On peut citer WebSphere d’IBM, WebLogic de BEA, Inprise Application Server d’Inprise et i-Planet de Sun. e-Components est vendu à partir de 40 000 F ht (6 106 ?) par station de développement.IMRglobal adapte ses logiciels à l’architecture 3-tiers Le retard que l’éditeur a pris sur d’autres acteurs sera peut-être compensé par la complétude de son offre comme par son hyperspécialisation. Si la cible traditionnelle a adopté assez rapidement les nouvelles technologies pour le front office, il n’en va pas forcément de même pour le back office clairement visé ici.

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THIERRY COURTOIS