Avec sa soixantaine de composants, la version 2004 du
PGI du suédois met l’accent sur la gestion de production et la maintenance, pour mieux coller aux besoins des industriels. Le module de gestion de production d’Applications
2004 prend désormais en charge le séquencement d’opérations : il peut décomposer celles-ci en processus unitaires alors qu’il se contentait auparavant de vérifier la disponibilité des ressources nécessaires à la fabrication
(machines, salariés, etc.).Quant au module de maintenance, un des c?”urs de métier de l’éditeur, il assure la gestion de l’après-vente ou des réparations au sein d’industries complexes telles que l’aviation. Par ailleurs, IFS a
doté son générateur de rapports, Report Designer, d’un requêteur qui facilite l’extraction de données pertinentes par l’utilisateur.
Un noyau plus homogène
En ce qui concerne l’architecture, IFS Applications 2004 abandonne son serveur d’applications propriétaire fondé sur un noyau
Corba, pour les standards
J2EE. ‘ Désormais, le PGI peut fonctionner avec les plates-formes d’IBM, de BEA ou de Sun ‘, précise Amor Bekrar, PDG d’IFS France. De plus, les
paramètres de localisation ?” notamment financiers ?”, sont désormais intégrés au noyau du PGI.’ De cette manière, sa mise en ?”uvre en France ne nécessite plus l’installation de modules spécifiques, destinés à éditer des livres et des journaux comptables ‘, poursuit Amor Bekrar. Le PGI est livré avec
une bibliothèque .NET, pour qu’il puisse être exploité depuis un client Windows.
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