Comment se moderniser et bénéficier des technologies récentes sans oblitérer toute la richesse ?” règles métier, processus, etc. ?” accumulée dans le patrimoine applicatif des entreprises au fil du temps ?
D’autant qu’il ne s’agit pas seulement des millions de lignes Cobol ou RPG en service aujourd’hui, mais aussi des nombreuses applications client-serveur en voie d’obsolescence.Le package AMS (Application Management Services) d’IBM Global Services comprend un canevas de prestations outillées en fonction de ce but précis. La démarche s’articule fort logiquement en deux
phases : l’une concernant l’analyse, et l’autre consacrée à la transformation proprement dite.L’analyse s’effectue en fonction de plusieurs critères, qui donnent la possibilité de décider de l’action devant être engagée, compte tenu de sa rentabilité. Sont en particulier pris en compte l’importance de
l’application pour le métier de l’entreprise, son étendue fonctionnelle, ses données (identification des redondances), l’architecture sous-jacente en termes de performances ou de maintenabilité, et enfin les coûts
?” qu’il soit question des dépenses d’exploitation ou de développement, ou encore des licences ou de la formation.
Des cycles de migration volontairement courts
Ces critères sont appliqués à chaque logiciel de façon à déterminer le type d’action à entreprendre. Celui-ci peut aller de l’abandon pur et simple de l’application à son redéveloppement avec des technologies
modernes, ou encore à son encapsulation à des fins d’intégration.La migration proprement dite se divise en quatre étapes progressives, chacune recourant à différents blocs de prestations. Les outils mis en ?”uvre font appel au catalogue d’IBM (Websphere, MQSeries, Holosofx), ainsi
qu’à plusieurs partenaires, tels Relativity Technology (extraction des règles métier), SEEC (Mosaic Studio), ou Microfocus. Cet outillage permet de limiter les délais, tant dans l’analyse que dans la réalisation :
‘ Concernant les phases amont, pas plus de trois mois pour le conseil, et un an au maximum pour la transformation. Le retour sur investissement est mesuré à chaque phase ‘, précise Emmanuelle Conrad-Vrignaud,
responsable de cette offre pour la France.
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