Avec son processeur à 131 MHz et sa mémoire vive de 32 Mo, le Jornada 720 a la puissance des PC portables d’il y a quatre ou cinq ans. Les familiers des PC ne seront pas déroutés par son système d’exploitation adapté de Windows, ni par les logiciels dérivés des standards de Microsoft.
Le Jornada 720 est doté d’un écran tactile de bonne qualité, qui affiche 65 000 couleurs, ainsi que d’un clavier (un peu petit) et d’un modem. Mais ses faiblesses sont à la mesure de ses qualités. Son prix, d’abord, est très au-dessus de celui de ses homologues. Sa taille bâtarde, ensuite : trop gros pour tenir dans une poche. Enfin, on se demande pourquoi Hewlett-Packard a privé ce modèle du port de connexion USB pour le remplacer par un port série. Un choix d’autant plus inexplicable qu’il augmente le temps nécessaire pour l’échange de données entre le PC de poche et un vrai PC.
Lavis de la rédaction
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