À mon arrivée dans l’entreprise, il n’y avait pas de réel service informatique, se souvient Vincent Ramond, responsable informatique de Hammerson, il n’y avait alors qu’une trentaine de salariés.” En deux ans, leur nombre a plus que doublé, atteignant 70 personnes, et un véritable système informatique a été déployé. “Il fallait non seulement créer cette architecture, mais aussi mettre en ?”uvre une politique de sécurité de haut niveau : sécuriser l’accès au réseau et se protéger contre les virus et autres menaces”, explique Vincent Ramond.
Mises à jour systématiques des antivirus
Premières briques de la sécurité de l’entreprise : l’installation d’un coupe-feu, le contrôle du flux Internet par un proxy et le déploiement d’un système d’accès à distance sécurisé. “Restait à contrôler au mieux la messagerie, reprend le responsable informatique. Évidemment, nous avons installé un antivirus sur le serveur de messagerie et sur les postes clients.” Mais, le suivi des mises à jour du logiciel se révèle particulièrement fastidieux pour la petite équipe informatique. “L’externalisation ne présentait que des avantages, notamment une surveillance 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 de notre flux d’e-mails. Sans compter que notre prestataire dispose de plusieurs antivirus systématiquement mis à jour”, s’exclame Vincent Ramond. La foncière immobilière décide donc d’utiliser les services d’Activis, e:)scan. Ce qui ne l’empêche pas de garder un antivirus en interne. “Nous avons pu mettre en place une politique d’entrée et de sortie des messages sans avoir à la gérer en interne”, se félicite le responsable informatique. Ainsi, le filtre des e-mails en fonction de leur poids, de leur provenance ou des fichiers attachés et les barrières antispam ?” messages non sollicités ?” sont à la charge du prestataire. Les e-mails stoppés par le filtre sont mis en quarantaine. Seul le responsable informatique y accède et peut, au cas par cas, autoriser l’entrée d’un message dans le système. “Le paramétrage de ces règles s’effectue très simplement à l’aide d’un navigateur”, souligne Vincent Ramond. Il dispose de tableaux de bord détaillant le nombre d’e-mails par jour ou par heure, les types de fichiers envoyés, ainsi que les expéditeurs. “Ces rapports étaient un peu succincts au départ, mais ils se sont fortement enrichis en choisissant la version Pro du service”, explique Vincent Ramond.Autre atout pour Hammerson, l’installation n’a duré qu’une dizaine de minutes : il a suffi de configurer le serveur de messagerie de manière à router le flux sortant vers Activis. “Seul notre gestionnaire de noms de domaine a pris beaucoup de temps pour mettre à jour le DNS. Il a fallu quatre jours pour que les messages soient routés vers Activis et non plus vers nous”, raconte Vincent Ramond, très satisfait de la solution. “Nous n’avons remarqué à ce jour qu’un seul incident dû au prestataire. Le principal inconvénient réside d’ailleurs dans le fait d’ajouter un prestataire de plus à gérer dans une liste déjà longue.”
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