Construire et administrer les référentiels de la Société Générale est la tâche de Guy Barski. Au fil des mois, il a forgé des ” systèmes d’intérêt communautaire “. Un travail d’analyse, de sélection et de structuration des informations, pour créer une cinquantaine de référentiels.” L’administrateur doit choisir des définitions indiscutables, partageables et pérennes, qui aideront l’entreprise à concevoir ses systèmes d’information, précise-t-il. Ces référentiels sont construits par arborescence, sur un modèle pyramidal, avec les éléments détaillés à la base et les plus macroscopiques au sommet, pour le pilotage. Ils structurent les données et les processus de la maison. “L’un des référentiels les plus évocateurs est celui relatif aux clients. Avec onze millions de clients à gérer, les noms et libellés des sociétés doivent être précis et les critères de différenciation stables. Dans la logique des numéros de sécurité sociale pour leur authentification sans faille. Ainsi, les cinquante mille employés de la banque identifieront leurs clients sans erreur. Et les décideurs disposeront de données de pilotage consolidées exactes.Début novembre 2000, une page se tourne. Le département dirigé par Guy Barski est passé de cinquante à dix personnes.
Commentaire : ” Je pilote désormais les six référentiels majeurs, qui doivent être respectés par l’ensemble de la banque. La quarantaine d’autres seront administrés localement ”
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