GPS 315, de Magellan : Il manque d’autonomie… et de fiabilité
Ce récepteur aux allures robustes est doté d’un équipement logiciel intéressant. Mais il souffre d’une autonomie trop faible et d’un manque de fiabilité dans certaines mesures.
Bien que le GPS 315, de Magellan, soit doté, comme ses deux rivaux, d’un récepteur à 12 canaux parallèles, ses performances en matière de suivi des satellites sont tout juste correctes : moins de 1 minute à chaud, et 3 minutes à froid. Comme le modèle de MLR, il dispose d’une pile au lithium pour une sauvegarde des données pendant 10 ans. Il possède également un port pour le brancher à un PC, et une entrée DGPS pour le connecter à un récepteur différentiel. Il est capable de mémoriser 500 points personnels et 20 routes réversibles de 30 étapes. Son originalité repose surtout sur l’intégration d’une base de données contenant plus de 20 000 villes du monde entier, et d’un calculateur des meilleures conditions de pêche. Neuf pages de navigation indiquent, sur son écran rétroéclairé, la position, la direction à suivre ou la vitesse. Et sa construction robuste et entièrement étanche lui permet de flotter !
